La Seconde Chance d'une Mariée Trahie
par la rumeur du quartier : Sophie, la riche héritière que Marc convoitait déjà secrètement, avait convaincu son père d'investir massi
aide a rapidement fait de m
tomber Marc juste quand il avait le plus be
nt se marier. Il a eu de la chance d'y éch
e école de pâtisserie de Paris. Mes journées étaient remplies de farine, de sucre et de chocolat. Le travail manuel me calmait, me centrait. Chaque macaron
s rendue à une journée portes ouvertes
Il avait déjà l'air d'un autre homme, celui que j'avais vu dépérir à la télévision dans m
ds se son
instant
tre chose. Une lueur de reconnaissance, une fraction de seconde de panique. Une co
e tout : de mon sacrifice, de son abandon, de notre déchéance mutuelle et de mon succès final. Il connaissait l'issue. Et malgré
orant, c'était un adversaire conscient. Un homme qui, en toute co
u encore ressentir pour lui s'est évaporée. Il n'y
simple, une pâtisserie de quartier. "Tu ne vois pas assez grand, Camille," me disait-il. C'est lui qui m'avait pous
"hobby mignon". Je me suis souvenue de son indifférence lorsque je passais des nuits à p
ils ont ri, me regardant ouvertement. I
a jeune fille facile à manipuler. Ils ne voyaient pas la femme qui avait déjà vécu une vie entière, qui
ournée. Je ne leur ai pas accordé une seconde de plus de mon temps. J'ai
tait ma rédemption. Ma vraie vie. Et il n'y avait