Ombre d'un Passé Brûlant
ent atteint les oreilles de Sophie. La jalousie l'a rendue folle. Elle n'a
pper. La porte s'est ouverte à la
formé par la haine. « Vieille et fanée, tu oses encore util
a rage, me regardant de haut. Puis,
petite Luna
ement dans un coin, s'est figée de peur. Quand ils l'o
Maman, au
Sophie m'ont attrapée, m'immobilisant sans ménagement. Ils m'ont f
elle-mère maintenant ! Elle, ce n'est qu'une simple styliste sans pe
urné les talons, sa somptueuse robe jaune balay
et ma rage. Puis, je me suis relevée d'un bond et j'ai couru. J
asse ? » a-t-il demandé, fronçant les sourcils en me v
ppée à sa manche, désespérée, comme
hie de me rendre Luna
le, je me demandais quand tu m'appellerais de nouveau
sens. Mes larmes coulaient s
ste, Marc... Rends-la-moi, s'i
n faussement rassurant. « Elle a juste emmené Luna pa
n regard à rencontrer le sien. « D'ailleurs, Adè
hir. « Alors... tu savais ? Tu sav
lieu de répondre, il s'e
l te plaît. Nous aurons d'autres enfants, beaucoup d'autres enf
dégoût profond m'a submergée. J'ai eu un ha
a résonné dans le
tu me dé
rd est devenu glacial, son visage s'est transformé en un masque de
parlé, sa voix
! » a-t-
des son
n seul repas par jour, sans aucun service. Elle ne sor
des opportunistes. En me ramenant de force à l'atelie
. Monsieur Marc a spécialement organisé un grand banquet au bor
Sophie. Le service interne prépare ça dep
errière moi. Je me suis effondrée co
oreilles. L'atelier était froid et silencieux. Je me suis assise dans la cour, le regard fixé sur un vi
colorée et éphémère. J'ai levé mon cou raide pour les regarder. C'était si beau. Cette splendeur, cette d
nt frissonner de froid. J'ai compris à cet instant. Marc