Amélie Devenue Liane
trahissait ma nervosité. Marc Dubois, mon mari, le sculpteur de génie que tout Paris célébrait, allait rentrer d'un voyage d'affaires. Notre appartement, qui servait aus
iché une notification. Je n'avais pas l'intention de regarder, mais le nom de l'expéditeur a a
llement, mon amou
am
i fort que j'ai failli le laisser tomber. J'ai relu le message, encore et encore.
e doutes et de talent. Je l'ai soutenu, j'ai cru en lui quand personne d'autre ne le faisait. J'ai géré ses finances, organisé ses ex
t prise dans ses bras au milieu de ses sculptures inachevées et m'avait dit : "Amélie, sans toi
trésor le plus précieux, avaie
ression dans ma poitrine qui m'empêchait de r
es" de plus en plus fréquents. Ses appels téléphoniques tard le soir, où il s'isolait sur le balcon
te. Une idiote l
n sourire charismatique éclairant son visage. Il a
r, je sui
le de supporter son contact.
. "Qu'est-ce qui se pass
pour la première fois, je n'ai pas v
il et son regard a changé. La panique a traversé ses yeux une f
faires maintenant ?" a-t
pas dans le couloir. Une voix de femme, douce
tait ici. Dan
moi, son expression un mélange de pitié et
ait fixé sur la porte du couloir, où u
passé, la façade. Elle ét
à naître dans ce vide. Une colère froide. Une détermination. Il ne s'en tirerait pas comme ça. Il avait dé
e consignait pas son génie, mais ses doutes, ses emprunts, ses plagiats. Les œuvres d'artistes moins connus qu'il s'
, c'était mon
ans mon esprit. La vérité allait éclater. Non pas pour le détruire
n téléphone
étonnamment stable. "Vous
Amélie Dubois, la femme du grand sculpteur. J'ét