Une seconde vie, un nouveau jeu
ation de toute la noblesse. On parlait de la "ménagerie" du Comte Antoine, de ses nombreuses protégées, et de sa pauvre épo
ça une visite que j'att
adame Dubois, la
t derrière elle une Mireille à l'air pitoyable, le
ann
tridente, accusatrice. Elle ne p
fait à ta sœur ! Ell
a broderie, prenant soin de mont
Que se passe-t-il ? Assey
r ? Cette maison est devenue un véritable bordel ! Des danseuses, des chanteuses, des i
i-sœur, qui sanglotait do
angent, il suffisait de me le dire. Je ne voulais que le bien-
elui de la plus
e-mère. "Elle ne voulait pas t'inquiéter dans ton état ! Mais c'en est
ai, l'air
cela vous causait tant de peine. Mais où est Anto
l était. Sylvie m'avait rapporté qu'il était parti cha
Madame Dubo
t pas là. Il
je, en la fixant. "Où étais-tu
sa mère répondit à sa
ce vacarme ! Elle voulait juste un peu de calme pour lire
rd, juste à côté du bureau personnel d'Antoine. Un
alme", mais en réalité, elle attendait qu'Antoine la remarque. Elle se présentait comme une fleur délica
e avait recommen
je pensivement. "Mais n'est-il pas un peu isolé ?
endit un grand bruit dans le
olée. Deux gardes robustes tenaient f
it Mi
t assise sur mon canapé, mais une
déchirée au niveau du col, et une égratignure rouge marq
jetèrent presq
Nous avons trouvé Mademoiselle Mireille en train d'essa
ans le salon
pleurs sur le canapé, puis
'était pa
comme elle. Un subterfuge classique. La vraie Mireille étai
an avait m
, feignant la confu
possible ? Mireille es
sur le canapé, qui venait de comprendre la catas
voulais jouer ? Le j
-