Adieu, Mon Tourmenteur
nt que la sage-femme prépare ses instruments pour m'achever. Ma
l... Adèle...
t penchée sur moi, son visage déf
ta-t-elle. « C'est un monstre. Je n
ma en moi, si faible que j'eus p
ous faire ? » ma voix
e c'était une urgence absolue pour arrêter une hémorragie. Il n'y verra que du feu. Mais vous... vous devrez jouer le jeu. Vous devr
Me taire. Feindre. Vivre dans le me
demandai-je, les larm
en que nous puissions faire pour lui. Mais nous pouvons vou
de cette femme, son courage face à la tyrannie
l me trouva en larmes, le visage dévasté. Angélique
is pas le choix. J'ai dû tout enlever. Elle est hors de danger, mais... e
ain, la serra dans les siennes. Son vis
. Notre petit ange est parti, et maintenant ça... C'est
ui me brûla comme de l'acide. Je fermai les ye
tienne », murmurai-je, cha
ouleur. Il était si convaincant. Si je n'avais pas entendu sa conversation avec Camille, j'y aurais cru. J'aurais pleuré dans
l. Un "oh" vide, un "oh" qui disait tout mon mépris et ma haine naissante