L'Humiliation Devenue Triomphe
i commencé à marcher vers la sortie. Je n'avais plus rien à faire ici
e ça, Dubois ? O
ur de moi, me barrant le passage. Leurs visages affichaient le même sourire suffisan
, » a lancé un de ses amis. « Tu n
ge à quelques centimètres du mien. Je pouva
e pauvre et ta tête d'enterrement. Tu fais vraiment pitié. Ma mère donne de meilleures f
ôté de lui,
reur dans le décor. Tu devr
ve de me réduire à néant, de me rappeler
Je n'ai pas crié. Je n'ai pas tremblé. J'ai répon
z que la valeur d'une personne se mesure à ses vêtem
. Le contraste entre leur agitation agressive et ma tranquillité était flagrant. La foule autour de no
isage s'est crispé de colère. Il m'a pous
ui, putain ? Tu oses
table. Ses amis se sont rapprochés encore plus, leurs poings serrés. Ils étaient prêts à en découdre
ns ciller. Un petit sourir
ut. Par exemple, je constate que tu es
e, laissant mes mots
vaincre' le comité d'admission avec un don très généreux. Une d
abasourdi. Comment pouvais-je savoir ça ? Son arrogance s'est fissurée, remplacée par une lueur d'incréduli