Renaissance : L'Héritière qui a Redéfini son Destin
le couloir, devant une chambre. Carole était assise sur un banc, le visage b
igne d'approcher, comme
au bureau des infir
elle a levé les yeux vers moi. Il n'y avait aucune tris
chambre. Carole était seule dans le couloir. Elle s'est levée
nue. Joseph est tellement d
le cadeau qu'il m'a fait pour mon anniversaire, il y a deux
J'ai reconnu l'éc
e en Bourgogne ce week-end-là, » a-t-elle continué d'une voix douc
outeille de vin rare, en disant que c'était pour me remerci
une autre page d
faisait un froid glacial. J'avais posté une stor
n souvenir tend
la nuit devant mon petit appartement, juste pour s'assurer
tré tard, sentant le froid et la neige. Il m'avait prise dans ses bras et m'avait embrassée avec une urgence que je n'avais
C'était le trop-plein de son inquiétude pour une autre fem
. Mon amour. Tout n'était qu'u
pu en suppor
» ai-je dit,
l sans un regard en arrière. Je marchais vite,
mes valises de l'armoire. Mécaniquement, j'ai commencé à plier mes vêtements
m de Carole. C'était une photo. Joseph, encore pâle et faible dans son lit d'hôpital, était en train de lui épluch
de toutes les fois où j'avais fait la même chose pour lui. Éplucher ses fruits, couper s
r que j'avais pour lui, si tenace et si pati
ne femme fatiguée, mais avec une nouvelle lue
e dit à voix basse. « Tu vas te rec
contrat serait terminé, je ne r