Deux Vies, Un Amour
'était une excuse parfaite pour éviter le monde extérieur et pour mettre de l'ordre dans mes pensées. L'idée d'épouser ma riv
é violemment ouverte. Claire se tenait sur le seuil, le visage déformé par la fureur, ses yeu
. Elle a marché droit sur moi, l'intendant s'écartant sur son pass
par sa véhémence. « De q
. « Antoine est mourant ! Il a été empoisonné, et il dit que c
lle faisait preuve était stupéfiante. Antoine, ce manipulateur, a
ans, » ai-je dit calmement,
a poigne étonnamment forte. « Tu vas venir av
s laissé entraîner hors de mon domaine, sous les yeux choqués de mes serviteurs. No
allongé dans son lit, le visage cireux, respirant avec di
cin en me voyant. « Un poison rare et viol
i, les yeux pleins d'accusat
g d'une personne possédant une constitution très particulière, une affinité naturell
hestré. Antoine avait dû se procurer ce poison spécifique, sachant que j'étais le seul
i-je dit. « Je ne l'
, désespérée. « Tu es le seul qui peut le s
erais-je ? » ai-je
ssé mourir par jalousie. Ta réputation et celle de ta famille seront détruites. » Elle a fait un s
r l'homme qui la manipulait. La douleur et l'humiliation m'ont submergé. J'ai cédé, non pas
alors que la lame s'enfonçait dans mon bras. La douleur était aiguë, mais la souffrance dans mon cœur
urer à l'oreille d'Antoine, qui feignait l'inconscience : « Ne t'inquiète pas, mon amour. Je te sau
eux, mon cœur se vidant de tout sentiment pour elle
anouissement. Claire était restée aux côtés d'Antoine jusqu'à ce qu'il "reprenne conscience". Elle avait ensuite été réprimandée par son pro
ncore, elle est revenue. Sans gardes cette fois. El
, comme si elle me faisait une faveur. « Mais tu dois comprendre. Je ne t'appar
dans les yeux, ma voix
trompes. Je ne
« Tu dis ça seulement parce qu
t'approche plus jamais de moi ou de ma future épouse. Votre relation n
ux éconduit qu'elle m'avait assigné. J'étais fatigué. Fatigué de ses jeux, de sa