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Deux Vies, Un Amour

Chapitre 1 

Nombre de mots : 1110    |    Mis à jour : Ce jour17:04

minente. Ma mort. Allongé sur le sol poussiéreux, le sang s'échappait de ma poitrine, et ma vision se brouillait. C'est là que je l'ai vue, Claire Leclerc,

mensonge. Mon mariage, sa mort prétendue, tout cela n'était qu'une ruse pour qu'elle puisse s'enfuir

assins. Ils se sont précipités vers nous. Antoine, lâche comme toujours, a poussé Claire devant lui pour

eur, je sais que je n' aurais pas dû vous tromper avec cette fausse mort, mais mon cœur appartient à An

rouillé ce qui restait de ma vue. J'ai fermé les mes pr

une à nouveau, vêtu de mes plus beaux atours. Mon père, le duc Dubois, se tenait à côté de moi, un sourire fier sur le

choix. Le jour où j

ans la salle silencieuse. « Le moment est venu. Qui chois

t joyeuse. Il y avait Claire, aussi belle et froide que dans mon souvenir, son visage impassible

c un air de défi, un petit sourire moqueur aux lèvres, comme si elle était sûre que je ne la choisirais jamais. Dans ma vie passée, nos querelles constantes m'

mots : « Ne me choisissez pas. »

et j'ai parlé d'une voix claire et

sis Sophi

ant sur son visage. Les autres nobles chuchotaient entre eux, choqués. Sophie elle-même a perdu son sourire narquois, remplacé par

voix basse, plein de scepticisme. « Toi et Mademoi

hie, qui me fixait toujours, abasourdie. « Nos querelles passées étaient pe

st élevée. C'était Claire. Elle a fait un pas en avan

pas accepter un engagement. Mon cœur appartient déjà à un autre. Je vous demande de me libérer. » S

peur que je la choisisse à nouveau, la liant à un destin qu'elle voulait fuir. Une rage froid

ante, mais hors de propos. Comme vous l'avez entendu, mon choix s'est porté sur Mademoiselle Mar

is qu'elle ressente une fraction

ient, encore sous le choc de ma décision, Antoine Moreau m'

u crois faire ? Tu humilie

uture femme, » ai-je répondu calmement. « Ce qu

ontre le mur. Je n'étais pas préparé à l'attaque et j'ai trébuché, ma tête h

une silhouette se précipiter. Ce n'

nant tordu par une fureur protectrice. Elle s'est interposée entre Antoine et moi, san

ux. « Pierre, ça va ? » Sa voix était douce, dépouillée de toute son ironie habituelle. En cet ins

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