Briser les Chaînes: Au revoir, mon mauvais mari
gration. Adèle Dupont sentit un léger tremblement dans sa main, la seule trace visible de la tempête qui faisait
dossier est complet. Vous recevrez une n
ment officiel, l'air frais de Paris lui fouetta le visage, mais elle ne sentit rien. Son esprit était
mmes bien habillées passèrent à côté d'e
arc Dubois ? L'immeuble près de l
On les voit partout ensemble, il la regarde comme si e
harismatique que tout Paris admirait. Son mari. Il avait passé des années à construire cette image, une façade impeccable de mari a
emblait désormais étranger, contaminé. Elle alla directement dans son atelier, un havre de paix où ses créations de mode pren
la soirée. Marc apparut, son sourire
e, je suis
tiblement. Elle sentit sur lui un parfum qui n'était pas le s
bureau ? » demanda A
finissait pas. Tu m'as manqué, » d
t. La couleur exacte que Sophie portait ce matin. Le cœur d'Adèle se serra violemment dans sa poitrine, un étau de doule
. « Je suis un peu fatigu
ude feinte dans les yeux. « Tout va
al de tête,
aque fibre de son être hurlant de douleur. Elle repensait à tous les signes. Les appels manqués. Les "réunions tardive
des murmures provenant du couloir. Elle se leva sans un bru
e ne peux pas la quitter maintenant, ça détruirait mon image. Les gens
« Je suis fatiguée de me cacher, de n'
lidé ma position, nous pourrons être ensemble. Pour l'ins
ire, un pion dans son jeu de pouvoir. La douleur la submergea, si intense qu'elle eut l'impression de se noyer. Mais sous la dou
on jeu, mieux que lui. Elle allait attendre, planifier, et le détruire au moment où il s'y attendrait le moins. Son regard s