Quand l'Amour Dévore
mais qui portait son nom. Le silence était assourdissant. D'habitude, à cette heur
sorti une grande valise. Puis, méthodiquement, j'ai commencé à vider mes tir
es photos de nos premières vacances. J'ai regardé ces reliques d'un amour mort. Il n'y avait plus de nostalgie, seulement une fatigue immense. J'ai pris la b
était une story de Chloé. Une photo de ses pieds, avec des chaussons moelleux, posés sur notre table basse. En arr
a colère n'est pas venue. C'était étrange. Je me sentais détachée, comme si je regard
ai laissé sonner. Il a rappelé. Encore
. Arrête ce cirqu
répondu. Un
iture. Chloé était sous le
si mes émotions étaient un caprice d'enfant. Je suis restée silencieuse, regardant son nom s'afficher sur l'écr
s la serrure. Il est entré. Il m'a vue avec la vali
t-il demandé, sa voix trahis
ars,
onciliant. "Chérie, ne sois pas stupide. Tu as
upportable. Un frisson de dégoût m'a parcouru. C'était une réaction physique, incontrôlable, qui venait du plus profond de mo
t durci. "Très bien. Fais ce que tu
silence le rendait fou. Il était habitué à mes larmes, à mes protestation
ble. J'ai ouvert mes e-mails et j'ai trouvé le contact d'un agent immo
ué au 12 rue de la République. Je suis disponible pour u
dernier lien matériel qui nous unissait. Il ne le savait pas encore, mais il n