Au Revoir, Sophie.
que j' ai vue ce matin-là, mon espace de travail, jadis ordon
les pieds sur mon bureau, mes dossiers précieux en otage. Il a ri de ma stupéfact
es par Marc, sous l'œil bienveillant de Sophie. Ils m'ont vidé de mon appartement, m'ont jeté mes affaires comme celles d'un moins
yeux, un tel monstre ? Comment peux-tu, Sophie, me traiter comme un chien, moi, l'homme qui a bâ
s viré, Clément ! » a-t-elle hurlé. Mais ils ne savaient pas que je détenais le piège parfait. Elle pensait jouer une partie de d