Plus Jamais Prisonnière : L'Envolée de Juliette
ant de Paris pour s'enfoncer dans la campagne. Nous nous sommes arr
oiture et m'a jetée dans
e décomposition m'a frappé de plein foue
enfance, a resurgi. La peur du noir
ur, n'est-
rée de la cave, sa silhouette se
nt tes parents t'enfermaient dans le placa
mes traumatismes les plu
n'étant plus qu'un murmure. « Je renonce à tout. Je
rire froid e
à moi. Ton talent est à moi. Tu crois
te en bois, me plongeant
re. Quand tu seras prête à m'o
a faim et la peur ont commencé à me faire perdre la raison. Des images de ma mort pa
nt sur les murs. Je parlais à mes parents décédés
n train d
rand bruit. La porte de
nt habitués, j'ai vu ma tante Carole, son vis
tte ! Qu'est-ce q
e je pouvais à peine tenir debout. Derrière elle,
chir un peu, » a-t-il dit d'un ton
a fusillé
n monstre
t d'épaules. « Mais je suis un monstre puissant