L'Effacement : Quand la Mémoire Libère
de temps s'est écoulé
s de moi. Des mains sur mon corps. Des rire
oupée désarticulée pour
partement qui claque. Des pas lo
hambre s'est ouv
ca
nue et inerte sur le lit. Les trois hommes, l'un d'eux me touchant encor
a semblé
le visage de Lucas. Une fu
les hommes qu'il s'est
. Il lui a arraché le téléphone des
S-TU F
l l'a attrapée par les ch
OI ! TU COMPRE
udain dégrisés, ont reculé contre le mur, terrifiés
es yeux s'est mêlée à une sorte de désespoir
e... mon
de me touche
ctif de recul. Mes yeux, bien que voilé
... touche
rauque, mais la haine qu'
rès m'avoir brisée lui-même ét
sang, a commencé à rire. U
déteste ! Elle te dé
cracher des véri
s ? Que son élégance te glaçait ? Que tu attendais juste le bon momen
onfirmation. Une nouve
à que le chaos a at
ucas avait laissée ouverte dans
to
la pierre, encadré par deux hommes de la
conde. Il a tout vu. Moi. Les hommes. Chloé au
t tombé, lour
n pas rapide et a frappé Lucas. Un coup de poing sec,
ce d'o
t maîtrisé les trois arti
, m'a enveloppée dedans avec une douceur infinie, c
Éléonore. Je t
sant devant Lucas, qui se relevait pé
de l'appartement, hors de cet en
lée par la rage et la perte.
performance ? T
rs la galerie. Je savais où il l'emmenai
il jeté aux hommes que la sécu
r s'est refermée, coup
il ne restait plus