Mon Serment, ma Prison
personnelle. Il ne voulait pas seulement me bri
e. Il me forçait à y travailler, à créer des parfums simples. Il prél
n secret, Élise.
créations avec des machines complexes
ais réussi à cacher. C'était le dernier parfum que ma mère avait créé po
-ce que
lui prendre. « Ne
de son so
ant pour toi,
vier. J'ai crié, un son de pure agonie. C'
les cheveux, forçant
out te prendre. Chaqu
Une possessivité tordue, presque désespérée. Il m'a embrassée, brutalement. Ce n'était pas
sang dans ma bouche. Le parfum de
Sept mois. Je de