La Vengeance de la Curatrice
Je caressais distraitement mon ventre, déjà bien arrondi à quatre mois de grossesse, un sourire aux lèvres. Léo, mon mari, devait être
était un message d'une am
z Léo ! Dommage que tu
la prétendue « fiancée éplorée » de son meilleur ami décédé, le regardait avec adoration. Autour d'eux, t
Baptême ? Quel baptême ? Et pourquoi Léo s
rché machinalement vers le bistrot. De l'autre côté de la rue, cachée par un porche, j'
e tu fais, Léo ! » a
it dans ma tête comm
rompée, la dernière au courant. Tout cet argent, tout cet amour que j'avais investi en secret pour qu'il réa
s de mariage, tout me semblait
larmes brouillant ma vue. Dans un taxi, j'ai
ama
s'est
qu'est-ce qui
e. Je rentre
e, puis sa voix, fe
e a besoin de toi. Il a t
ma douleur. C'était fini. Je ne me battrais pas pour
nnien. Le silence était assourdissant. J'ai regardé
ée, Léo est rentré, fa
n amour ! Le service
embrasser, mais j
? » a-t-il demandé,
emière fois, je n'ai vu qu'un étranger. Un homme faible,
. Ils ne savaient pas que sans cette bourgeoise, leur idole ne serait rien. Son
orant mon silence glacial. Il parlait de Chloé, de sa
e notre amour. Il ne se doutait de rien. Il pensait que j'étais si
vengeance silencieuse. Il allait tout perdre. Pas seulement moi
rue, en regardant son mari célébrer sa double vie. Une nouvelle Amélie était