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La Louve Scellée

Chapitre 2 2

Nombre de mots : 1483    |    Mis à jour : 12/06/2025

it couler plus de la

ena à cette nuit maudite, où le destin a tout a

morte. Mais je n'étais pl

illante, je comprenais que je n'avais plus que deux issues : me vider lentement

dîn

ne seconde. Toute ma famille réunie, riant à pleines dents, les yeux pleins d'espoir. Ce soir-là, je leur avais confié mon rêve : aider les animaux, les so

ve ensemble. Ensemble...

tin s'est m

u si lourd, si las, que j'abandonnai toute tentative de me redresser.

aman me raconter une histoire pendant que mon frère me chatouillait les pi

être aimée. Être he

vres, mes yeux se fermaient len

grondement sourd qu

raquent... Quelque chose approchait. Ou quelqu'un. Mai

de moi, même, espérait que ma famille était morte aus

aucun doute. Massacrés. Et moi, j

tte attachée à ma taille. Le poignard à l'intérieur était censé me protég

rt. Mon cœur s'accéléra. Les

le front. Pas une morsure. Pas une attaq

paire d'yeux argentés me fixait, é

un loup o

s'il pleurait ma fin, lui a

aversa. J'ai levé la ma

rure était douce. Un sourire effleu

. » murm

aient. La vie était injuste. Les méchants gagnaient toujour

lais r

la gar

mpagnie, Rogan ! Tu veux qu'on

ne sais pas ce

bien ce qu'elle est ! Si on la confie à une autre meute, c'e

urais

! Ça s

il haussait le ton, c'était fini. J'ouvris péniblement les ye

nts. Mais elle m'aimait comme

nterdisait de l'insulter, mais dans ma têt

e blessée, même brisée, elle dégageait quelque chose.

t ni ce qu'elle fuyait. Mais j

j'avais besoin d'air. Habituellement, c'

it-là... c'ét

ça. Mais au lieu de fuir, je courus vers

Les chasseurs sont là. » Et Sam m'avait appris que j'étais u

étaient faites p

hasseur. Mais j'ai

e, au regard couleur s

tait là, à moitié morte, serrant un poigna

nne que j'ai bravé les loi

oir peur. Elle aurait pu fuir.

oux

vec amour. Moi, un

e. Elle méritait qu'o

e mon loup hurlèren

lf

ra dans l'air co

je hurlai. Aussi fort que mes poum

otter sur le ciel nocturne et espérais

er la moindre brise. Pourtant, mes cris le transperçaient comme des lames, portés par

pas plus de cinq ans, deux de moins que moi, et pourtant, elle courait avec la panique d'un adulte. Les hommes qui la poursuivaient tenaient des fusils. Des chasseurs

sais-je avec une ferveur presque r

ire qu'elle a été effacée de toutes les cartes. Pas de voisins, pas de visiteurs. Rien que la r

ent. La blessure à la tête a peut-être causé plus de dommages qu'on ne

ueil. Un accord a déjà été signé avec cette meute. Pas qu

en sais

défends juste parce que t'

AQ

mme un coup de tonnerre. Un silence de plomb s'abattit. Mon regard s'abaissa, mai

e la vis, recroquevillée sur un chariot, tremblante. Dolly pleurait, rongée par les mots venimeux de

ais chaque tentative s'était soldée par ce qu'on appelle une fausse couche. Et chaqu

p de questions », disait-elle toujours avec un sourire triste. Elle n'avait pa

dèle à sa réputation

regard, ses yeux dorés noyés de larme

, Dolly. Elle est spéci

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