L'amour n'était pas au programme
ifeste de Caroline, le propriétaire de l'hôtel ten
e vous trouve, Allende, dans une position - disons - compromettante, sur le lit
. « J'ai... j'avoue... un peu trop bu. » Il haussa les épaules de manière éloquente
? » demanda Montejo d'un ton aimable, mais Caro
nt, peu désireuse de se faire des ennemis dans les vingt-quatre heures suivant so
ina légèrement la tête vers Allende. « Vous avez de la chance que Mademoiselle Ley
éré. « Vous n'allez pas dire ça à Don Esteban
né - l'obligea à revoir son impression initiale. Elle comprit soudain que cet homme n'était pas son employeur. Pourtant, il connaissait son nom, et il avait parlé de son frère. Qui était-il alors ?
confusion, l'homme se tourna vers ell
présenté. Je m'appelle Montejo - Luis Vincente de Montej
aisit rapidement. « Vous êtes
ses yeux d'acier. « Mon frère est... indisposé
t, puis acquiesça. « Je va
rmet
e de l'hôtel les regardait partir, partagé entre le soulagement et une rancune à peine dissimulée. Caroline, croisant son regard glacial, frissonna. Mal
aient été mis au courant des agissements d'Allende, et lorsqu'ils se rangèrent avec un respect manifeste pour les laisser passer, elle ressentit une vive gratitude
e, garé à quelques mètres. Les épaules de la chemise de Caroline s'humidifièrent alors qu'elle se pressait vers le siège avant, plus soucieuse d'échapper à la pluie que
nir de ce qui avait failli se produire, encore vif dans son esprit. Mais peu à peu, sa respiration se fit plus régulière, et elle parvint à replacer l'événement dans une perspectiv
anes, sous une lumière grise et délavée. Si Las Estadas semblait à peine civilisé, ce qui se trouvait au-delà paraissait tout simplement sauvage. Les lueurs du village, derrière eux, lui paraissaient soudain infiniment ras
erced ? » s'enquit-elle, po
médiatement. Sa bouch
n d'un ton neutre. « Une trent
z-vous de ne pas pouvoir me fa
s lèvres. « Est-c
r, Señorita. » Il fit une pause. « V
hameaux - un peu comme Las Estadas, sinon par la taille, du moins par l'aspect. Caroline se demanda comment ces gens pouvaient vivre ainsi, ce qu'ils faisaient pour survivre, comment ils élevaient
ttèrent de nouveau pour rebondir violemment sur une piste creusée d'ornières et généreusement semée de nids-de-poule. Caroline s'agrippa fermem
se de sa perception. Ne vous laissez pas décourager par le paysage. Il n'est pas toujours
urna la têt
donc qu'il y a
. Tout ce que je dis, c'est : ne jugez pas mon pays par se
ine h
vision... tr
rudit, rétorqua-t-il, et elle le vit sourire dans la lueur des cadrans