Mon Alpha m'a trahie
ts des corbeaux résonnaient comme une mélodie ancienne, oubliée par les dieux. Au cœur de la clairière sacrée, Aelwen tenait
immobile
i veillait à ce que chaque mot prononcé soit en harmonie avec les anciens pactes. Aelwen obéit, gardant les yeux f
uchota Lira, sa sœur de cœur,
un sourire, à pe
lier à Kael devant toute la meute... Si je n'
ira, mi-sérieuse, mi-taquine. « Tu es... quelque
rit les yeu
que tu veux
a les int
souffre pas les doutes ni les
imace, mais se
on qui remonta le long de ses bras fut comme une morsure. Une voix - douce,
n se
là ? » sou
assin, elle crut voir une lueur rouge s
ent. Un battement ré
a
table, son autorité ancrée dans chaque mouvement. Ses yeux, d'un vert sombre pr
s membres de la meute s'inclinèr
urmura-t-il en arrivant à
voix plus douce qu'elle ne l'aurai
ur sa joue, puis se pencha pour que seul elle l'entende. «
qui donnent chaud au ventre. Plutôt un fro
rois que
riant, puis se t
être liés sous une lune bénie. Je veux q
hocha
ra troubler la bé
la voix. Un mot ancien. Son prénom, prononcé d
l-orash. San
eut-être la nervosité.
ré. Les anciens récitèrent les serments, et Kael s'adressa
us serons plus forts. Et rien, pas même les v
t en un seul chœur. Lira lui sais
il parle comme ça, hein ?
regardait Kael... mais elle avait l'ét
re du Fort-Lune. Les murs transpiraient l'humidité, mais les tapis épais e
devant le mir
it-ce son imagination ? Elle se
ortes la
ois, ne venait p
battant. Personne. Mais l'ombre da
i est
ne rumeur, tout
elora. Le sang anci
use. Une fiole tomba et se brisa. L'ode
les yeux. Ins
pas réelle
réveille
ouetta son visage. Au loin, dans la forêt, un hu
en était sûre. Il portait autre chose d
'embrasure de la porte, tor
? » demanda-t-il,
sur
ais avoir entendu
ntement, com
t les sens. Tu es nerveuse. Tu sen
ussa un
plaisan
sou
Un p
ore, posa les mai
Demain, tu seras mienne. Et rien a
erma l
os, la voix m
veut ton sang,
yeux brusquement,
aux voix ? Au
fixa,
parlent parfoi
ntiment. » Elle tenta de so
la tête, l
ner. L'union, c'est le desti
ocha l
ue chose ne tournait pas rond. Ce n'était pas seuleme
ée bien avant qu'
ans une forêt obscure, la lune pleine éclatant au-dessus de têtes de loups figées da
née de cette meute. Tu es
ravers les tentures épaisses, Aelwen se leva, le cœur battant
ourt
ait s'empêch
je fuy
té, au lieu de m'abandonner
y était apparue, comme une entaille. Une mar
matin, elle entendit l
œur-sang. Tu e
... elle n'av