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L'Éveil de la Marquée

Chapitre 10 10

Nombre de mots : 1201    |    Mis à jour : 01/06/2025

sers ardents, presque mordants. Je frissonne sous ses lèvres, retirant le tissu noir de ses épaul

aversant de part en part. Je le pousse doucement, mais fermement, jusqu'à ce qu'il s'allonge sur un lit de feuilles u

onne contre mon téton tendu, ses dents jouent doucement, provoquant un mélange exquis de plaisir et de douleur. Je gémit, me

tendre. Je veux plus.

r de sa pointe. Sans une seconde d'hésitation, je le guide en moi. Une brève dou

, m'alimente. Je l'enlace, l'embrasse, je le chevauche avec une ferveur inédite. Nos corps se fondent, se cherchent, s'

s dévalent mon cou, s'attardent sur ma clavicule. Je ferme les yeux, ma tête bascula

l murmure : « Je

out fusionne dans ce moment parfait. Je veux lui dire que je l'aime aussi, mais ma gorge est

loppe. Je reste là, allongée contre lui, incapable de boug

ts, un sourire timide

is avoi

Je suis trop épu

amée, je

rav

er à boire et à manger... mais dans ma pré

. Juste le reg

ais aller les chercher... si tu n

e suis sûre que t

n soupir long et comblé. Je pourrais m'endormir

nuer, qu'on ne peut pas res

est fermer les yeux...

gronde dans son corps,

ttait à tout rompre, mais une hésitation timide me retenait - l'idée de m'accrocher si près à lui me semblait presque effrayante, comme si je risquais de briser quelque chose de fragile. Alors, j'ai laissé mes pieds toucher la terre humide, incapable de m'é

s je les avais toujours repoussés, me persuadant que le moment n'était pas venu. Pourtant, à cet instant précis, après la passion qui nous avait consumés

rebelle derrière mon oreille. Je doutais que ça répare le chaos dans mes cheveux,

dans son petit sac. « Peut-être que je les ai semés, mais je suis sûre qu'ils me ch

ond, avant que je ne prenne quelques gorgées, laissant ce liquide frais ranimer ma

dai-je avec un soupir. « Vingt

ançant un coup léger. Ivar soupira. « Bon, très bien. Mais dès que je vo

antai-je, un sourire fra

écurité pour revêtir le tissu sombre qu'il avait apporté - un vêtement aux manches courtes, coupé juste au-dessus des cuisses, chaud et léger. Il fit de même, en s

feuilles sèches, niché devant un arbre gigantesque, et me tira doucement vers lui. Je me bl

ire tomber, pas vrai ? Mon esprit épuisé vacillait, déjà em

a joue, ses lèvres poser un

Delina... » murm

seconde qui suivit, je somb

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