L'Éveil de la Marquée
nées à faire comme elles ont été ordonnées. Pour nous tuer. Le roi et la reine de l'Empire Krod
Un feu cramoisi danse à l'horizon, annonçant non pas une armée ennemie, mais celle qui portait autrefois nos armoiries. Des silho
parce qu'ils sont résolus. Résolus à faire tomber la famille qu'ils
la... à ca
tées qui strient ma four
ente de porter la sagesse d'une souveraine, mais elle se br
e ferait une reine. Mais mon cœur vacille, consu
té sur son visage. Sa voix suinte la haine
que vous êtes n'est pas naturel. C'est l'œuvre des forces interdites. Des sorcières corrompues,
ux. Le roi Roald et la reine Aurica - mes parents, les plus puissants alphas de l'
erre, gronde Geralt. Ils ont invoqué la magie noire pour créer la vie.
ndus le long de son corps comme
faut rétablir l'équi
e force supérieure ne peut rivaliser avec une meute entière. Pourtant, mes parents ne fléchissent pas. Ils grognent
n esprit est un tourbillon enragé, entre l'acceptation d'un dest
être une reine si je ne
reculons lentement vers le château, encerclés. Ce n'est
regard. Sa fourrure noire luit sous la lueur du ciel sanglant. Je f
pas les sol
re est d'un brun caramel chatoyant, vibrant avec ses émotions comme ses yeux le font
regard est celui d'une g
vahit. Je sais ce qu'ils
Maint
ue comme un
Mais je sais que c'est la seule décision sage. Mon corps vient à peine de changer. Je n'ai mêm
ine, mais ce soir, je ne
s que je grimpe les marches. Je vais plus vite que je ne le pens
i se lancent à ma poursuite. Derrière moi, la guerre commence. Les hurlements, les grogn
eux pas me
teau, vers l'unique chemin libre. C'est une folie, une trahison de mon instin
e redresse juste à temps pour foncer vers l'escalier central. Mon plan est clair : au fond de l'
rieurement la déesse, le
. Je n'ose imaginer mes parents à terre. Non. Ils ne tomber
mon cœur au bord de l'explosion. Je sens leur présence derrière mo
forte. Et pourtant, je cours. Parce qu'il
refuse de mourir
peu à peu, même si je sais
cer le gigantesque loup brun qui fond sur moi à l'i
. Mes mâchoires se referment sur sa fourrure rêche, transperçant sa peau. Le goût métallique de son sang envahit ma bouche, mais
même pas le temps de compr
se ruant sur le cadavre qui répand s
mi approchant. Le choc l'envoie s'écraser contre un mur. Je bondis sur un autre, mes crocs se plantant dans son flanc.
ats lui
arcourir la forêt à pleine vitesse, libérant cette énergie surabondante. Mais au lieu de cela, je continue à tuer. Un