Captive des ténèbres
li
bitacle. Mes poignets me faisaient mal, serrés trop fermement par les menottes de cuir qui les retenaient l'un à l'autre. L'odeur du c
édente se bousculaient dans mon esprit, un mélange de peur, de confusion et de colère. J'étais sortie seule, après une dispute idiote avec ma
ève
oudroyée quand son regard glacé s'était posé sur moi. Son nom circulait dans toutes les conversations clandestines de la ville : che
u de fer. J'avais crié, lutté, mais il avait glissé une
à moi ma
venant de son ton. Froi
'ouvrit, laissant entrer un courant d'air glacial. Deux hommes en costumes noirs m'attrapèrent par les bras et me tirèrent hors de la v
van
f. La pièce était spacieuse, décorée de velours noir et de dorures. Des bougies diffusaient une lumi
ssez-
u bois résonna dans mon crâne comme un coup de feu. Je sentis une présence derrière moi,
tu ne sois pas
chaleur de son torse contre mon dos, la fermeté de ses muscles à travers sa chemise
? soufflai-je,
Sa main remonta lentement le long de mon ven
ue tu m'a
suis pas
sur ma taille et colla son corps contre le
a. Il souffla mon prénom comme une caresse
ue, soulevant légèrement ma robe. Mon souffle se bloqua
che-
-le e
che-
res brûlaient d'une intensité perverse. Il passa un doigt le lo
pouce frôlant ma bouche. Mais tu ne
es ma
ut-ê
iennes. Je sentais son souffle contre ma bouche, la tension électri
x pas m'éch
décharge. Il se figea. Lentement, il essuya la salive d'un r
Bi
bes s'enroulèrent instinctivement autour de sa taille. Il pressa son corps
a ? murmura-t-il contre ma gor
lus, c'était l'envie grandissante qui s'éveillait en moi. Mon corps répondait à s
t, une lueur sombre dans le regard.
Je le mordis, mais il ne fit que grogner de plaisir en approfondissant le
ait. Non... j
n, son regard brûlant m
ue en enf
Mes jambes tremblaient, mes lèvres gonflées par son baiser br
e grand lit au centre de la p
ut rompre. Une part de moi hurlait de me lever,
e venais de franchir une limite. Je n'étais plus lib