DONNA
lée de la journée, même si la brise nocturne commençait à se faufiler sur les rochers. Là, isolée de tout, une maison vitrée semblait surgir de la terre comme un mirage
tterrissage à côté de la piscine - une bande circulaire de béton marquée par des lumières encastrées dans le sol. Il portait une chemise blanche déb
venait par hasard. Ici, on ne posait pas
t, traversant la porte coulissante vers l'espace extérieur, où le vent projetait du sable doré contre les vitres. L'hélicoptère atterrit dans un rugissem
ille et s'ouvrant stratégiquement, révélant la courbe généreuse de ses fesses. Ses cheveux blonds tombaient en larges vagues jusqu'au milieu de son dos. Elle ajusta son sac sur son ép
tendit le
fuge » dit-il ave
x verts pétillants de malice, et prit le
elle, un sourire su
rès, la chaleur du déser
s allons beaucoup pro
se racla
eure dois-je
londe, un coin de s
lor
aigneux à l'hélicoptère avant de tourner l
que tu pe
ve et prédateur, et se
re heu
ussa un
-t-elle, prenant une
uffla contre eux, faisant onduler la robe de la blonde et révéler encore davantage. Pietro passa un bra
, et il sentit son corps se relâcher sous son toucher. Aveuglé par le désir, il saisit ses fesses avec force, une pression brutale qui arracha à la
oche. Pietro soupira, frôlant les
moi à l'in
vers la maison, ses hanches se balançant dans une invitation silencieuse. Il la regarda jusqu'à c
iu
il pensait. La dernière personne
écro
de la femme de l'autre côté, avec
éclaircit
de rendez-vous. J'atte
oix portait une pointe de ch
une profonde
e serai bientôt là,
e ça... tu
ura-t-il, essayant de garder un to
un sourire audible. « Je crois q
de son ventre clignota comme une ampoule
tour lundi. Ne t
essa
son de verre. Sa peau
is racc
t d'entendre
une traînée de parfum et de tension. La cuisine ouverte brillait d'acier et de marbre. Des canapés blancs comme des o
lles. Lorsqu'elle arriva à la suite principale, elle s'arrêta. Une seule caméra là-dedans, pointée directement sur le lit aux drap
ntra, il s'arr
u ma compagne » dit-il, ave
deux fois
, mais tu es
ans son souffle. Il l'embrassa à nouveau, puis la tira du lit dans un mouvement ferme,
d'elle. Il s'agenouilla, la tête entre ses jambes, sa langue explorant son sexe avec une faim vorace, suçant et léchant jusqu'à ce que ses gémissements emplissent la pièce. Elle était mouillée, prête, et Pietro se relev
oup
l'avant de
ourna le visage, les yeux posant une
té quelqu'un
sourcils, repren
s que je me
les sens en alerte. Le bruit était réel. Ce n'était pas le vent.
En arrivant dans le salon, Pietro s'arrêta, le cœur battant. Deux hommes étaient là,
ici ? » demanda-t-
ère lui, la nervosité é
demanda-t-elle, l
pas en avant, le fusil toujours pointé
t-il, la voix calm