The mission :Entre les griffes de la mafia
on, le stress, la peur... tout se mélangeait dans son esprit. La fatigue finit pa
t depuis le premier jour. Mais pas à ce point. P
Que veut-il vraiment ? Elle soupira. Elle n'avait pas de réponse, juste des suppositions.
lend
eau comme une seconde couche. Elle appréhendait. Ce démon... qu'allait-il lui demander aujourd'hui
nuit. Elle se dirigea vers la salle de bain, entama sa routine avec automatisme : lavage du visage, soins, l
retourna dans sa chambre pour s'habiller. Un jean noir, un t-shirt sob
ra profondément et quitta l'appa
inconnu. Là où l'att
ncements du métal sous l'effet du vent. Elle pénétra à l'intérieur, s'installa dans une pièce sombre, attendant
u'il exerçait sur ses hommes. Cela n'étonnait guère Ekaterina ; son regar
scrutant l'ombre. Son instinct lui soufflait que c'ét
Petrovich était mort. Était-ce vrai ? Avait-il menti sur cette perte de connaissance, sur le f
omment tu vas ? lança
mon prénom ? demand
je recrute quelqu'un sans me rens
m'as demandé
n ? Ou tu t'es dégonflée ? rép
Je veux
Bonne
est bon, je
ourquoi tu veux tant travailler pour mo
l'ai d
r Sergeï, hein
in de fric.
te comme toi
pas de
'aime ça. T'as qu'à
, tu devrais le savoir !
rêve de plaisanteries. Si tu veux bosser po
omm
t tout. Tu les réuss
sque
ssant la joue. Tu vas commencer par un c
leva d'
problème.
a jolie. Les g
de salle circulaire, une sorte d'arène improvisée. Ils la relâchèren
il ? dema
ve, répond
rochait. Un ogre de chair et d'os. Au moins 1m90, bâti comme un taureau. Chaque pa
dversaire, an
, répliqua-t-elle
muscles, elle devait rester méthodique. Ce combat, c'était s
ps sont permis. La règle est simple : tuer
Elle sauvait les vies, elle ne les ôtait pas. Mais elle n'eut pas le
pour toi, princes
. Elle tenta de bouger, mais chaque geste lui arrachait un cri. Sa main foui
vanta l'homme en
planter son couteau dans
, la pou
u'elle avait. Il encaissait ses coups comme s'il s'
frapper au moment crucial. Elle se dirigea vers une forêt, grimpa dans un arbre avec
oin, semblait p
Du sang coulait du ventre d'Ekaterina, la trahissant. Il lev
nc. L'arbre résistait... mais
à droite, puis à gauche. Elle devait se trouver à près de vingt-cinq mètres du sol. C'était haut. Très haut. E
sa vers le bas. Puis vers l'arbre. Vers l'
aaaa
roid. Terriblement froid. Elle avait l'impression que tout son sang quittait son corps. Elle s
. Mais elle n'y arrivait pas. Ch
son esprit, la voix de son fil
ment de perdre espoir. Tu es une héroïne, et les vrais
ans sa tête. Elle ne pouvait pas
rgan remonta à la surface, luttant contre l'eau et la souf
sée lui insuffla une nouvelle force. Son regard tomba alors sur une arme, posée au sol. Elle la saisit, méfiante.
giné. Mais avait-elle seulement le
ir maintenant. Trop de g
BANG !
tomba. E
e devenaient flous, comme étouffés. Elle avait mal. Tro
res forces, elle se rele
e debout, elle l'a
ment, il faut croire que je t'ai sous-estimée. J'a
a princesse, murmura-t-e
ocha, caressa d
en coin. (Puis, à un homme derrière
i, c
et la guida jusqu'à une peti
it. Son fils lui manquait. Thomas aussi. Elle voulait les revoir. Elle n'en pouvait plus. Fatiguée. Brisée. M
redevenir elle-même.
t pas trop longtemps. Honnêtement, elle
. Yasinkov était cruel, féroce, auto
qu'elle commençait à
mière ? Tout cela... juste pour intégrer un cartel ? C'était ridicule. Disproportionné. Et
l se
t plus fort. Elle pensa à son fils. À