Entre balles et Baisers
mbre. Pas une ombre qui glisse furtivement dans la nuit, mai
ivais pas à me défaire de l'image de ses yeux. Noirs, perçants, une lueur dangereuse qui m'avait glacée sur le moment, mais qui maintenant m'at
s raisonnable
hui, comme la journée avec Chloé. Elle me parlait souvent de ses derniers rendez-vous, de ses histoires
lus vraiment moi. Comme si une autre version de moi, plus sombre, m'avait pris en otage.
ccompagna dans une boutique de vêtements, mais même les robes de créateurs ou les sacs à main de luxe ne faisaient plus batt
ce dans mes yeux, une expression qui trahirait ce que je vivais. Mais j'
r de lui. Pas encore. Et sur
posa la question, je
tourner la tête, hein ?" Elle m'observa en haussant un sourcil. Elle me connaissait trop bien.
e avec la gorgée d'e
ne échappatoire. "C'est juste que j'ai beaucoup de t
a réponse. Mais elle n'insista pas. Elle sav
? Mais je savais aussi que je devais rester éloignée. Il n'était pas fait pour moi. Ce genre d'homme, il ne fallait pas s'en approcher.
lus je le repoussais, plus je le voyais. C'était pr
uelque chose ne va pas, mais je n'insisterai pas. C'était son regard de maman. Celui qu'elle avait quand elle devinait que me
protéger des mauvais garçons, des mauvaises influences. Je savais pourquoi. Elle ne voulait pas me voir sombrer dans
de nuit. C'était un message de C
n ? T'as l'air perdue. Fa
, histoire de ne pas p
Juste fatiguée.
n téléphone posé, je sentais un vide dans ma poitrine. Ce vide qu'il
ue je le voi
intelligent. Mais ce désir de comprendre, de connaître cet homme
déjà vers la porte. Une fois dehors, je marchai, sans but précis, jusqu'à la remise de
t. Je pensais qu'il serait là, dans l'ombre, quelque part, m'attendant. Mais... rien. I
t à ce moment-là que
s rev
ai. C'étai