LA MARIEE CONFONDUE DE LA MAFIA
de vue
IC
que je vois à la télé et qui me font saliver. Mais son regard est sombre. J
acial, et je me suis retrouvée à frissonner de peur en le voyant pour la première fois. Je remarque qu'i
tien. Mon travail consiste à nettoyer la cuisine et à laver les assiettes de 8 h, heure d
intenant, à cause du genre d'hommes qui viennent ic
er. J'aimerais oser dire à mon patron que je ne travaille plus, puis rentrer
ent, comme un faucon surveillant sa progéniture. Je me dirige v
mon travail d
Joe, je salu
as, répond-il a
te sur mon épaule. Je me retourne pour prendre mon sac à main
me aux yeux bleu foncé. Il ne ressemble pas à un client or
enir dans ce gen
ourquoi est-il venu ici ?
le mauvaise ? C'est pour ça qu'il
l a aussi de
t ma colonne vertébrale, je sors, l
n t-shirt noir, une veste en
sont attaché
n de gravier, mes pensées sont confuse
Je dois aussi rendre visite à ma vieille tante ; sa santé se
ter sur la route tranquille,
, mais quand je remarque qu'il ne porte pas de cap
s'agit d'un autre homme du restaurant. Je l'ai déjà croisé plusieurs fo
Je viens de comprendre que c'est parce qu'il est le premier à arriver au
chacun de mes mouvemen
'homme sale alors que je m'arrête
cher quelques minutes avant d'arriver à la
rière vers le restaurant, ma
vas
endre le chemin d'où je viens. Me bloquant, il fait un pas de
voit
rieur ? J'essaie de vérifier
é, mais je
oi, dis-je
as son nom. Son hale
er mon sac à main. Il m'attrape les mains, et je pousse u
n, b
ittant pas les miennes alors que je lutte avec lui,
plaît, je t'en supplie, je sanglot
e si de nombreux hommes marchaient sur le gravier. Je con
tenant ! rugit une voix autoritaire venue de n
de m'enlev
ame-t-il d'une voix rauque
pourquoi l'homme ne me sauve pas au lieu
isage me font mal
cet homme pour pouvoir l
ends aucun mo
e, et je pleure plus f
t de son emprise. Soulagée, je m'affale au
dit de la lai
parvient à mes oreilles ta
je lève les yeux, les yeux écarq
quatre, mais il se démarque des autres. Ils sont tous en noir, m
et la minute suivante, mon agresseur
oignet, le sang coulant, avant que je ne
mme de sa clique. Lui aussi a le rega
connaissions de quelque part, m
crie l'homme, et i
hiffon à l'un de ses hommes pour s'essuyer
seur gémir sur le sol, dans la mare
r lui. Il a failli me violer. Mais je suis là, à so
onne-t-il à ses hommes, et mes
s presque à deux doigts de lui cri
en ce moment suffit à l
lui expliquer cela
éan, me regarde lentement, les épaules r
et je vois son visage en entier. Une
ancer le même regar
en désignant une
e me dit le
nnu. Probable
pas aller
cage thoracique comme s'il allai
e la voiture qu'il m'a indiquée, je prends me