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Les Malheurs de Marie: Le Secret

Chapitre 4 No.4

Nombre de mots : 2386    |    Mis à jour : 26/10/2021

itre

oisinage était terrible, car les crues de l'un et l'autre se révélaient redoutables. On situe au mieux cette installation entre 1833 et 1835 par les lieux de naissance des enfants. Les attelages de cet exode venaient du domaine de Rodolphe, à Morières. Probablement un échange de main-d'œuvre entre le propriétaire de Morières et celu

9 ; Marie Louise Justine, qui sera reçue cistercienne au monastère de Notre-Dame des prés, à Reillane, dans les Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes-de-Haute-Provence), dont elle deviendra plus tard

n François, le patriarche et le grand-père, et Geneviève

lantinet regroupant la plupart des autres fermes et des champs cultivés de l'île de Courtine, qui sera racheté en 1838 par le marquis de Grollée-Virville et son épouse, Maria-Anna Palchetti de Biogis, née à Florence d'une famille noble, et domiciliés soit dans un château en style classique provençal, à l'ouest de Gigognan, soit, et souvent, en une maison bourgeoise située 6, rue d

n ! de M. Plantinet. L'exploitation se faisait en commun ; beaucoup de bras, mais jeunes encore. Ils défrichaient la plupart du temps les essarts conquis sur les eaux. La situation pécuniaire de la famille n'était ni pire ni meilleure que celle des autres fermiers de cette époque, c'est-à-dire, en p

des catastrophes naturelles, poussait le preneur au travail, retenait le bailleur dans ses exigences. Néanmoins, à bien lire un de ces contrats de bail, on constate que chaque culture

s enfants étaient encore jeunes. Et, de plus, c'est la période qui a laissé le moins de traces : pas de lettres, pas de registre

annes, ce bambou de Provence avec lequel on construisait des sebisses (haies mortes) pour abriter les potagers du mistral. Les divers propriétaires plantèrent cependant des chênes, cet arb

moutonnements doux. Dans les replis de la roche et de la sylve dépassent, menaçants, les crénelages du château féodal des Issarts, omniprésents. Au fur et à mesure de la formation de l'île, puis du quartier, sur le Rhône, les châtelains des Issarts avaient annexé, essarté, viabilisé les terres apparues. Puis,

riand avec une farouche descendante de la famille de Forbin-Janson s

qui, dans sa propriété, se battait avec le Rhône, échangeait des co

on nom, et où, si tous n'avaient pas été des exploiteurs du menu peuple, tous avaient à

ndue plate et continue, dont les différentes lônes se combleraient petit à petit grâce au travail de l'homme, de l'érosion et de la végétation, avait été englobé, lors de la formation des départements révolutionnaires, dans le Gard.

erains se devaient d'adapter ses caprices à la stricte logique semblant s'imposer : témoin Bo

que je me suis fixé en projetant d'écrire cette histoire. Toujours est-il que, dès 1820, un certain Plantinet, grand bourgeois de la ville, acquérait la plus importante partie de l'île, le reste

dû se trouver d'affinités particulières pour l'exploitation d'un domaine encore plein d'aléas : bras d'eau, essarts toujours aux aguets d'un gîte, inondations catastrophiques deux fois l'an, co

dévolution bien arrêtée ni sûre pour l'agriculture. Néanmoins, soit qu'il sût s'entourer de conseillers compétents, soit qu'il eût la fortune pour éponger les pertes des mauvaises

communément dite Polygone) d'un régiment du génie, lesquels militaires utilisent souvent ce terme dans leur langage imagé. À moins qu'en raison de la contexture boisée du lieu le mot ne provienne du provençal courtino (bra

ne puissance hors du temps, ces meurtrières cachant les regards d'une fatalité possible. Les adultes ne les considéraient plus que comme un élément du décor et ne détestaient plus guère les nobles, le paysan assidu à sa tâche à laquelle il demandait seul

ion animale, mais dont la difficulté, les caprices et l'impétuosité du fleuve ne permirent jamais d'en contrôler durablement la marche. Elle était déjà concurrencée par la traction mécanique, les tourniquets à chevaux, les machines à vapeur, le touage, remplacée elle-même par la batellerie à aubes où les unités de transport devenaient pour la première fois autonomes. Un « prouvier » officiait au-devant du bateau avec son fil à plomb veillant à ne pas ensabler la quille. En « eaux marchantes », la remontée Arles-Lyon du

is l'aime bien parce qu'il peut passer pour l'amant, charmeur à certains moments et terrible à d'autres, de sa

ers la mort et s'ambrer ses « Isclo d'or »par sa « coupo »(Verse-nous la poésie pour chanter tout ce qui vit, car c'est elle l'ambroisie qui transforme l'homme en dieu !) ou si

éussit l'amalgame entre la ville

on enclose en

joie ! Âpre é

nt qui muse et

en furie, arra

futur, ména

ndort chaque nu

olage en ses re

u matin son é

indécis qui ser

rein, charmant

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raîchir famill

cile, un bel

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frôle et feint,

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son corps défendant, tous ses pièges cachés, ses ires futures, s'accroissait en n

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