SOUS LES CARESSES DE MON GYNÉCOLOGUE
Une frontiè
e vue d
r bat t
le regard analytique du Dr Maël. Je devrais me concentrer sur l'examen, sur la rais
st
ation de ma poitrine. Un geste purement médical. Rien d'intime. Rien qui ne de
t plus fo
se délicatement, explore méthodiquement, mais chaque pression, c
tion. Ma respiration se fait plus lente, plus profonde. S
là que je
me chan
sur ma peau. Son toucher devient plus hésitant, moi
t les yeux et cr
ans ce silence pesant, quelque chose passe
ne met pas fin à l'
iscrètement, son souffle lég
calme, mais il y a une nuance
Faire semblant que rien ne se
voix plus douce que
bouche, puis il détourne rapidement
esse doucement, attrapant mon haut pour le remettre, mais je sens encore la chaleur de ses mains sur ma peau. L'atmosphère dans la pièce a changé. Ce n'est plus se
DE VUE
contracte. Je ne devrais pas répondre à ça. Je devrais me lever, partir, effacer ce qui est en train de se pass
échangé beaucoup
écrit. Maintenant, elle est là, contre moi, son dos plaqué contre le lit de la consultation. Son regard est voilé, sa poitrin
ne invita
uche avec une urgence incontrôlable, mes mains explo
n souffle tremblant contre mes lèvres.
e sais, à cet instant précis, que je ne pourrais plus jamais faire machine arr
caresses. Son souffle est court, irrégulier, et chaque frisso
e de son corps avec une lenteur calculée. Je veux savourer ce moment, l'inscrire dans ma mémoi
s'ouvrant à moi avec une innocence désarmante. Son corps réagit à m
s que je commence à me positionner
suis
se figent in
êné et désireux. Elle ne me repousse pas. Elle ne me demande pas d'arrêter. Elle me confie juste un secret, u
ord, mu
que je vais prendre mon temps, que cette nuit ne sera pas un sim
n tube de lubrifiant. J'ouvre le capuchon d'un geste lent, conscient de so
e, mes lèvres se posent d
bien, soufflé-je
oigts s'accrochant lé
caresses. Son regard est voilé de désir, mais il y a aussi cette lueur d'hé
n sécurité. Qu'elle sache
se mélanger. Mon corps est tendu, chaque fibre de mon être me crie d'all
usqu'à ce point où son corps tremble déjà d'anticipation. Quand je la touche
contre sa peau, déposant un
usement, ses doigts s'a
lisse un premie
force à rester immobile un instant, à lui laisser
a v
s yeux mi-clos, un lég
aucune douleur
nce à bouger lentement, explorant son corps,
nie douceur, j'ajou
i, et elle inspire profon
s... ça fait
ssitôt, captur
arr
férieure. Puis, après quelques seco
.. con
s de l'accompagner dans cette découverte. Ses soupirs deviennent plus profonds, ses hanch
elle murmure ce mot qui me
inte
dont je ne reviendrai jamais. Camille est sous moi, offerte, vulnérable et magnifique dans cette lueur tamisée. Son reg
es, ma main caressant doucement
e-moi, m
imple échange, je lis tout : l'envie, la
frémissement de son corps. Elle est incroyablement serrée, et j
s ongles s'accrochant à mes épaule
ma voix plus rauque qu
dapte encore à cette nouvelle sensation. Alors, je reste immobile,
mence à bouger lentement, cherchant ce rythme qui
, c'est ce
es suivent timidement mes mouvements. Je sens s
-je, en effleurant sa j
ied. Je la prends avec plus d'assurance, enfonçant mes doigts
tend sous moi, un lon
re-t-elle, la v
e autour de moi dans un plaisir incontrôlable. Ses ongles s'enfoncent dan
contre moi alors qu'elle cède entiè
se-toi aller, murmur
s ce moment suspendu, je sais que plus r