Mon Alpha, mon faux fiancé

Elle ne s'en était jamais souciée. Nana, elle, m'avait préparé un gâteau. Et Xander

sorti de l'esprit. » Elle me lança un sourire b

-deux, e

u, tu grandi

en apportant le thé. « Chaque a

. » Maman fronça les lèvres. « Tu devrais

dos, plaçant ma serviette sur la table.

as besoin d'un *homme*. » Maman serra la main de Th

-

'éclaircit l

réparée. « En réalité, Felicity, j'ai quelqu'un à te présenter. Un ami très accompli. Il vie

? » demandai-je, poliment, bien que la nausée me montait. Un coup

nt, bombant le torse comme s'il présentait un pur-sang. « L

ommentaire glissa comme un p

ui n'avait toujours pas décroché l'or du divorce lucratif, contrairement à sa mère ? Ou peut-être, voyait-il, com

n attrapant son téléphone. Il la sortit avec une rapidité suspecte. Il l'avait

n sourire carnassier. « Tu veux

s par respect, j'essayai de je

e pe

uel. Trois poils blancs se battaient en duel sur son crâne, et un luisant inquiétant recouvrait sa peau

hant à mes bonnes manières. « Mon travail me prend tout m

icana. « Bradcellé ? Ha ! Ce vieux pruneau

a ma mère, la voix

vers Nana. « Je ne suis pas sûr de co

remplissait sa tasse ébréchée. « Alors laissez-moi reformuler, garçon : la prochaine fois que tu envisages de balancer un de tes amis d

un sourire satisfait, digne d'un

ma mère, le visage

l. « Ne dramatise pas. Fe

ma mère. « Elle a besoin

de rien n'était. « Je ne vais pas la voir servie à un zombie p

« Quoi ? Même p

n geste vers la sortie. « Toi et ton

ity, que si tu ne redresses pas ta vie très vite, il

rait dû se produire. Une querelle, maintenan

ndai, la voix basse : «

tranchant que la glace. « Tu fera

rte d'entrée dans les petites heures du dimanche matin, toussant toujours depu

arrière. Car si j'ai appris une chose en tant que pompier-garou, c'est que

enre de tension invisible qui précède une catastrophe. Mon loup, toujours attentif à la moindre anomalie, grognai

que mon moral. Même mes os semblaient suintants de fumée. Un bourdonnement incessant vrillait dans ma tête, un écho du hur

ême après que les flammes aient été domptées. À force de faire du bénévolat dans

e ne tournait pas. Et vu la semaine que je venais d'avoir, la c

ennent des pièges à chaleur mal calibrés. Un radiateur mal placé. Une cheminée nég

brasier en que

sin touché. Aucun corps à tirer des décombres. C

utilisé le gel douche luxueux que Felicity m'avait offert pour mon anniversaire, accompagné du shampooing et de l'après-shampo

surnaturels. Mes cheveux, sombres et humides, collaient à mes épaules. Je sortis de l

ige, les cardinaux bavardant dans le silence cotonneux. Une jou

profondément épuisé. Les draps, propres et bien tirés, sentaient presque l'oubli. Je n

essage pour savoir comment s'était passé son dîner. Mais mon télép

'a trouvé vi

pour lo

ur, Ale

re. Elle se tenait déjà dans ma chambre, sourire aux lèvres, comme si elle n

rapant les draps pour les tirer jusqu'à ma taille. Mon

fronça les sourcils devant mes sous-vêtements mal pliés, et entreprit de les réarranger. - Il est

lle était comme ce Pomeranian de la vieille Polly Burnett : petite mais bornée, et capable de dominer n'im

? demandai-je, ajust

- Elle brandit une paire de boxers troués, glissa son petit doigt dans l'a

ler pour cacher ce que je pouvais, traversai la chambre

rg, Alexander. - Elle me les tendit à contrecœur. - J