Éclipse Du Cœur : Une Nouvelle Aube
le mur de pierre de l'alcôve, dessinant des rayures sur la peau de loup enroulée autour de mes jambes. Un instan
loups vont et viennent dans la pénombre, certains humains, d'autres métamorphosés, portant des paniers d'herbe
bras chargés de bois. « Attention, *l'étrangère* », ricane-t-
che les bavardages.
sa tresse argentée enroulée comme un serpen
en raccommodant les blessures d
. « Répare ça. Le fil est dans le coin. Si t
Prouve ta valeur. Reste en vie.* L'aiguille pique mo
tard, les bottes poussiéreuses
lace. » Je lève une tunique r
outures. « Tu as
ù ?
y a pas de trou. Quand je le fusille du rega
besoin d'air qui ne sente
e couvre le sol, mais de la vapeur s'élève d'une source chaude au cen
n enfant hoche la t
mporaire.* Mais le petit do
'un bassin entouré de
uoi
pour le petit. Et tu
a tunique.
tourne le dos. « Je
endant. Jarek s'assoit sur un rocher, toujours de dos. Son silence est..
a me déteste ?
ns l'eau. « Son compagnon est mort à cause des proscri
Je presse ma main sur le mouveme
s que je crois qu'il n
est une arme. Rar
retentit. Jarek se rai
uis ? » d
. » Il se lève brusqueme
mon alcôve, mais le sommeil ne vient pas. La chaleur de la source persiste s
*
s herbes. La meute m'observe, certains avec pitié, la plupart
t mon pouls avec des doigts calleux, disparaissant à nouveau. Parf
je un soir alors qu'il
. « Demande
es quand tu me r
e. « Je pense », dit-il lentement, «
rquoi
pas posé la seule qu
sit. « Quelle
'a atta
s veines. « Je ne v
l part, le ragoût
*
- *le visage de Kael, déformé. Des mai
eille en
u lit, un couteau à la
» Je me recroque
e les fourrures. Quand ses doigts e
mal », dit-il, si bas que
besoin.* Mais le petit donne
nnais pas »,
e contre la lueur des tor
plus froide ap