Le Secret de la Princesse Rebelle
ise. « Plus d'un choix ? C'est encou
y en a dix, mais je n'en suis pas certaine. J'ai arrêté d'écouter au bout d'un moment, car ils avaient tous l'air tellement... ennuyeux. » Il y avait des princes d'autres familles royales, un aristocrate d'une famille italienne, et les autres
es. » Elle regarda la mousse sur son café et attrapa un bâtonnet en bois pour mélanger la mousse et le cho
ssus de sélection. « Oui. Il y a au moins un large bassin de candidats. » Elle regarda son amie, les yeux éca
moi et ma famille pendant un certain temps, jusqu'à ce que tu te sentes capable de fa
'était totalement hors de question. Impossible pour elle de défier son frère. Dis
quoi
ente, mais elle n'avait aucune idée du chaos que cela
et les alliances. Ce n'était pas seulement sa famille, car son frère était le dirigeant. C'était le cas dans tout le pays. On faisait des affaires, on concluait des accords et
e était elle-même perdue. Finalement, elle secoua
e, rassure ton frère de temps en temps, mais ne le laisse pas te pousser dans un mariage que tu détesteras. Défends-toi », insista Suzanne. « Pense à toutes les autres femmes dans le monde qui ont œuvré pour le chan
la fureur de son frère. Elles sirotèrent leurs verres et discutèrent de leur remise de diplôme qui approchait à grands pas. Finalement, leurs autres amies, elles aussi di
gant restaurant, les mains posées sous la table, attendait l'arrivée du premier candidat. Rashid ava
n air pompeux et autoritaire. Il était petit, pensa-t-elle d'abord. Cet homme ne pouvait pas être plus grand qu'elle et, lorsqu'il s'approcha de sa table, elle dut éto
ures qu'elle avait choisies ce jour-là, elle mesurait environ sept centimètres de plus que lui, et le premier salut fut maladroit. Il était très mince, les épaules étroites et il t
n et en lui baisant les phalanges. « Nous ferons de bea
spérant qu'il pense qu'elle était respectueuse, tandi
une fois son amusement maîtrisé
n d'eux se vantait même de n'avoir qu'à assassiner onze de ses frères pour hériter du trône de son père. Elle n'arrivait pas à croire que cet homme soit si effronté au sujet de la mort de ses frères, mais comme c'était un homme petit, m
son amie ouvrit. « Parle-moi de Willingham », dit-elle, craignant de commettre une bêtise monumentale, mais aussi déterminée à éviter tous les hommes qu'elle
e cartons alors qu'elles travaillaient toutes les deux à emballer