Une Fausse Mariée
voilée jusqu'au menton, elle fut escortée par deux servantes silencieuses jusqu'aux portes massives
un grincement. L'obscur
la porte se ref
eule avec le
ine lorsqu'elle entendit son souffle d
s'éleva, gr
ppr
tant, ses doigts crispés
rop tard p
oppressant de la pièce. Elle savait qu'à cet instant, elle n'était plus I
d du grand lit royal, elle sentit le
ais elle devinait sa prés
? demanda-t-il, b
rler ? Feindre la réserve a
urmura-t-e
léger bruit de tissu froissé,
t-il simplement. Cette
e poignard. Leur union... Un mensonge d
frôler la sienne, un contact bref mais
crain
ait-elle ne
fort qu'elle en avai
é fût déjà totale, et prit une profonde
a. Pour e
it, plus rien ne s
se posèrent sur elle, et elle
dit-il d'une voix
bouche était sèche, ses mains moites. Elle fixa le sol
e mais étrangement apaisante. Il posa un doigt
dez-moi
e vit une lueur de curiosité, peut-être même de ten
-t-il, sa voix résonnant comm
rit qu'il attendait qu'elle la prenne. Les secondes s'éti
main tremblante
, un frisson remonta le long de sa colonne vertébrale lorsqu'il effleura
dit-il, sa voix p
n corps si proche du sien qu'elle pouva
se détacher de la réalité, de ne
lle sentit son cœur battre contre sa poitrine, un rythme régulie
dit-il, un léger s
tête, incapa
voir peur, murmura-t-il en c
. Puis il l'embrassa, doucement d'abord, puis avec plus d'assurance. Elle répond
fermes sur son corps. Elle se laissa faire,
aintenant, murmura-t
e de son corps avec une tendresse qui la surprit. Elle ferma les yeux, essa
un désir qu'elle ne pouvait nier. Elle essaya de se raisonner, de
mura-t-il co
mélange de culpabilité et de tristesse. Elle n'étai
vement, chaque caresse, chaque baiser, comme si le temps s'était arrêté.
par une vague d'émotions qu'elle ne pouvait contrôler. Elle
uffle régulier et apaisant. Elle sentit ses bras l'envelo
intenant, murmura-t-i
larmes monter. Elle n'était pas
devait ja