Le Credo du Play-boy
e mort. Ce soir n'est pas différent. Je me penche en arrière dans ma seule et unique chaise de pelouse, écoutant le crépit
ue toujours vide de la circulation. L'endroit est agréable, une cabane d'un étage avec un grand ha
e. Les nuits agitées dans les maisons de groupe semblaient aller de pair avec le fait d'être un enfant dans le système. Chaque enfan
la peur de ce qui allait arriver lorsque j'ai fermé les yeux m'a empêché de dormir. Le soleil a servi de filet de sécurité. Et après toutes ces années, c'
t sont quelques habitués. Mick le barman me salue ave
e faire une photo d
Je reconnais cette puta
e, ne prenant pas la pei
xplication. Juste
alons noirs couvrant ses pieds. Lentement, je traîne mes yeux sur ses jambes nues, sa jupe noire courte, à son haut de soie blanche, et enfin sur son visage. Fini
le en rejette un avant de se tourner vers moi. «Donne-moi ta main. Sans m'attendre, elle attrape ma main de la barre et la tire à sa
. Mais je suis plus ennuyé que je sois tellement exci
elle poursuit le coup
vous e
fait. Elle rejette sa tête en arrière et rit, satisfaite d'elle-même. "Je sa
vu. Je regarde ses joues tourner la moindre n
ton nom, M
Sinner's Creed,
e attendra un moment. Je n'ai pas besoin d'elle pour me dire son no
saisis son poignet dans ma main. Frotant mon pouce sur la chair douce, je sens sa peau picoter avec la chair de poule. Gardant
lque chose. Quelque chose de si salé et chaud qu
e demande si elle s'est formée elle-même pour garder son sang-froid, ou si elle n'est pas du tout affectée par moi. Quand je passe ma langue sur le cô
ant de m'éloigner. Je libère son poignet et lui donne le coup, puis je prends le mien. Et son c
une facture sur le bar et je fais un signe de tête à Mick. Avant de partir, je ne peux pas rés
iner ce qu'elle sera quand elle sera en dessous de moi. «Rendez-vous autour, jolie fille. Je m'éloigne et il ne lui faut que trois é
jamais dem
e le tiens. "C'est parc
s qu'elle se bat durement à se souvenir quand elle me l'a dit
dans mon ton. Ma voix tombe lég
uche légèrement ouverte, le choc sur son vi
sances valaient chaque c
ui et Tank avaient claqué les portes de l'armoire dans ma cuisine, à la recherche de nourriture. Je suppose qu'ils p
ière et eau. Comment survivez-vous de cette merde?» Il était tard et il n'y avait rien d'ouverture à moi
toute ma vie. Je vis habituellement à emporter. Surtout parce que rien ne fait que un homme se sent p
ux se sont presque bouclés de l'impact d'un buggy me frappant à mes chevilles. En tournant lentement, je m'attends
nant un sourire apologét
ai pas vu
lace et en suce le jus, je supprime l'envie de gémir. Une partie de moi se demande si elle faisait cette merde intentionnellement. «Qu'est-ce que vous achetez?» Elle s'approche de moi, se penchant et en surveillant le con