PIÉGÉE PAR L'AMOUR DU MAFIEUX
PITRE
e, je peux voir les veines de ses mains travailler. Son costume est impeccable, et même si son corps n'est pas droit, les lignes de son costume semblent l'être. Les triangles parfaitement formés de sa chemise blanche pendent lâchement autour
entrer s'avance dans la pièce et lui murmure quelque chose à l'oreille. Sa main cesse de bouger, et lorsque
t déplacés dans son regard autrement impassible. La moitié intérieure de son sourcil descend lé
pour couvrir ma poitrine, puis vers le bas pour
l'avant. Il sort un briquet et un cigare de sa poche, place le cigare dans sa
croise également les bras et continue à m'observer en silence. De temps en temps, il porte sa main au cigare pour l'enlever de sa bouche et souffle la fumée sur le côté. En arrière-plan, j'entends une h
et de s'approcher de moi. Il marche deux fois en cercle autour de moi, puis s'arrê
aie de me racler la gorge après avoir e
nt si lentement en insistant sur chaque mot, « j'ap
» répété-je
e encore la tête. « Je ne
e silencieuse. Mais je tremble. Impossible de dire si c'est à cause de m
arrêter mes tremblements, sans succès. Il le laisse tomber au sol, sort rapidement un pistolet, et tire trois fois sur le téléphone. Instinctivement, je recule et couvre mes or
mes mains de mes ore
e sais. » Il agite sa main avec une expression t
à quel point je suis terr
prén
ar.
» Ses yeux se pli
e. » Ma vo
Et c'est comme ça
ate
on entre son pouce et son index. L'odeur de poudre et de métal monte à mes narines pendant qu'il me force à lever les yeux vers lui. Je cède, connectant nos regards. Très sérieusement et lentement, il me parle : « Je v
erse ce monde souterrain. Je suis engourdie par la peur, mais aussi éveillée p
e téléphone, en revanche, n'a pas eu cette chance. Mais d'une certaine façon, j'ai déjà franchi le pire obstacle. Théoriquement, il me suffit de