Le Compagnon de l'Alpha
rnent vers la pièce. Des étagères bordent deux murs opposés et sont remplies de centaines de livres. Les murs sont gr
le bureau se
'il est bien bâti. Les yeux féroces et vert foncé de l'étranger glissent des papiers éparpillés sur
st ouverte, et maintenant je ressens le besoin intense de la respirer. Son regard me brûle et, comme jamais auparavant, je m'inquiète de mon apparence. La poussière et la saleté de l
, dit Andrew, me rapp
de guerrier d'autrefois, et comme l'homme à côté de moi, il m'intimide si facilement. Mon corps tremble légèrement sous son regard dur, mes genoux s'affaiblis
ix me fait frissonner le dos et j'
ait pas le cas. J'entends les pas d'Andrew qui s'enfuit alors qu'il s'enfuit de la pièce. L
erc
ne plus douce comme une
rdez-
oche de moi. Je ne peux pas supporter de le regarder. Je
t-il, l'air plus sérieux, comme si j'
ence à
étais entré dans votre... territoire. Je n
p quand j'ai b
ent aux siens. Mon cœur bondit à cause de la sensation électrique de sa peau
non. Je l'ai trouvé, la personne dont grand-mère m'a tant parlé, la personne qui est censée compter tant. Je ne peux
nt, sans bouger son autre main tandis qu
concentrer. Son con
que j'ai fait, mais je dois y aller", dis-je en détournan
ctement. Mon esprit est déchiré. Une partie de moi ne veut pas quitter ses bras p
le ? » demande-t-il, pas
e sai
me corr
nnais pas
veau lui faire face.
fermé dans une cellule, m'obligeant à rester allongé dans la terre,
de savoir qui ? Ils ne
ien », m'assure-t-il, m
le dis, puis-
tête. « D'accord, c'était Andrew,
ur caramel. Elle porte un tablier enroulé autour de son corps et des chaussures de tennis blanches, celles
demande-t-el
ngeline et
sirable. Avant que je m'en rende compte, je suis conduit hors de la pièce par la femme, Marin
dois y aller
un sourire doux et acc
vous ne
ai
t me conduit dans un couloir, puis de ma
ent. J'ai la tête qui tourne quand j'entre dans la pièce sombre car son odeur est partout. Tout semble ten
i relie une salle de bain. Marina est à l'intérieur, pliant des serviettes blanches moelleuses et les posant sur le b
er des vêtements chez Fiona. Ils seront sur le lit quand
et je lui rends son
se fermer et je sai
quelqu'un que je connais. Tout cela est tellement bizarre, mais savoir que mon compagnon est en bas, si près, me met mo
our le plus fou et le plus incroyable de ma vie. Comment le ruisseau m'a-t-il possédé ? C'est comme s'il s'accrochait à mes pieds et m'utilisait comme une mari
s après avoir vérifié que la porte est verro
me un violon, et une partie de moi n'y verra pas de mal. Quelque chose chez lui me rend accro. Je suis accro à chac
s possibilités semblent douces. Et puis il y a l'autre moitié de moi, celle qui s'inquiète pour ma grand-mère. Et si elle était partie à ma recherche, et si elle trave
de l'eau
bre et, heureusement, j'y trouve la pile. La porte de la chambre est fermée, alors je m'aventure dehors et me change rapidement. Me sentan
tait dehors ? Et s'il me dit que je ne pourrai jamais rentrer chez moi ? Je ne peux pas rester ici et me maudire continuellement pour
r grâce. Il n'y a pas assez de courage en moi pour tenir tête à un ho
ez-vous pu
mande-t-elle doucement, même si
uis ce
ours depuis que je suis enfant. Chaque fois que je les regarde, ils me ramènent à des moments
oi main
vous app
oussent à traverser. Tu sais que j'avais à peine le choix. Maint
« Évangéline, tu es à la maison. Enfi
homme que vous m'avez confié sera une volonté ? Parce que c'est mon compagnon ? Cela n'a pa
mme j'étais souvent seul. Ils me disaient que le grenier était un endroit sûr, un endroit où personne ne pouvait me faire de mal, et pourtant j'y étais
ma mère. Je n'étais qu'un secret à cacher et à cacher au monde, mais p
et jouer. Ma mère m'a installé un lit et une commode, et même un coffre à jouets avec des poupées et autres. Souvent, je n'avais pas envie de jouer avec des jouets mais avec les autre
is pas que personne d'autre ne pouvait la voir
louve en sortant de son coin