Le Poignard de la Destinée
l'écouteur. Mais il se redressa et poussa les portes. Une fois qu'il eut terminé et
nd de la pièce. Il était dans la foutue salle du trône ! Il
ux progrès ont été réalisés dans le pays après son arrivée au pouvoir. Son père avait également été un grand et sage dirigeant, mais le dirigeant
san trébucha à nouveau, se demandant si la perso
gardes ? Mais il n'y avait personne là. L'immense pièce en marbre et en granit était étrangement silencieuse. C'était si calme
le toucher. Est-il armé ? « Est-ce que je vais recev
s de sécurité ! « Brisez simplement la vi
rre. Effectivement, le verre, qui devrait être pare-balles, incassable et antivol, s'est brisé en mille morceaux. Le bruit était inc
» la voix dans son
sa. Celui qui lui parlait à l'o
ait traversé le fil jusqu'au poignard, mais Hassan n'hésita pas à s'interroger sur ce grésillement. Il a fourré le poignard dans le dos de son jean, puis s'est retourné et a couru hors de la pièce. Il fit deux mauvais détours avant de finalement r
s la clôture, atteignant la rue devant le palais quelques instants avant qu'un autre grésillement électrique ne retentisse. Il a pensé que c'était les syst
ant soigneusement de contrôler sa respiration lourde, Hassan ralentit et commença à marcher, le poignard toujours cac
ux pâtés de maisons de la clôture du palais et personne ne le poursuivait. Il l
! » une v
nsée lui retirer ce foutu poignard des mains. Il n'aimait pas se
ts noirs et pantalons cargo noirs n'allaient pas lui proposer de lui acheter une bière. D'autant plus qu'il s'agissai
ient sérieux ! Zut, s'ils avaient juste attendu quelques jours de plus, il a
nard couvrirait sa dette ! Mais alors, que lui ferait le gars du palais ? L'image du visage outragé de cet hom
il le pouvait, il se faufila entre les piétons qui remplissaient le trottoir. Il a essayé d'envis
n vieux magasin d'antiquités et de friperie se trouvait plus loin. Il pourrait jeter le poignard dans l'une des boîtes et continuer à courir. Si les
nt pas juste derrière lui. Alors, il s'est précipité vers la table avec toutes les boîtes de bric-à-brac et a jeté le poignard dans la boîte arri
ient, mais au moins elle avait évité le pire. Les chasse-neige et les camions de sel seraient déjà passés au moment où elle a atterri, mais la société de gestion de son immeuble en copropriété avait-elle
'ancien mur qui entourait l'ancien fort est aujourd'hui un mur de soutènement. Elle marchait le long du trottoir, enfilant ses lunettes de soleil. Elle devrait probableme
de magnifiques tenues en soie et en lin doux dans la suivante. Un café l'a appelée, mais Bea ne pouvait plus boire de café, sinon elle serait éveillée pendant les trois prochai
Mais c'est la table avec les cartons de livres qui a attiré son attention. Elle aimait lire. Bea lit à peu près tous les genres, mais son préféré est la romance se déroulant dans un ca
parlait couramment l'espagnol et le français, mais ne connaissait que quelques notions d'arabe. Apprendre cette belle
e qu'il ne méritait peut-être pas. « Les chutes de diamant ? » Elle murmura, puis ouvrit le livre et feuilleta les pages. C'était en anglais, mais probablement plus ancien et pas aussi int
mps qu'elle était restée là q
mme haleta en regardant
soudaine de l'homme, mais comme personne ne le pour
violemment la table et entendit des bruits de déplacement
rda autour d'elle, voulant trouver l'homme et comprendre pourquoi il l'avait poussée san
nt pas!" mu
or à la lumière, examinant la pièce. Elle avait fait suffisamment de recherches sur l'histoire de ce pays pour savoir exactement de quoi il s'agis
omme une précieuse relique de leur passé. Cela avait une sorte de
-il ici, dans une vieil
poids était supérieur à ce à quoi on pouvait s'attendre. Cependant, cela ne pouvait pas être l
Assiri était conservée dans le palais et gardée
faux, mais c'était u
oignard dans la boutique. « Combien coûtent les d
ntant rendant son anglais presque musical. « Cinq crédits pour le livre. » Il jeta un coup d'œil au poignard, puis soupira en signe de rejet.
er de faire une bonne affaire, puis a sorti l'argent et l'a remis. "Merci!" dit-elle au propriétaire du magasin, en fourrant le li
ut en noir emmenaient l'homme qui l'avait bousculée. L'homme tra
en or, où est-il ? » a
grimacer. Bea se retourna, essayant de cacher son horreur face au traitement brutal. Les trois l'ignorèrent alors qu'elle se précipitai
cherchaient sûrement pas le poignard qu'elle venait d'a
-ce qu
Le vrai poignard était dans le palais, prot
us son épaule, elle vit l'homme en sueur pointer dire