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Un Mariage en Otage

Chapitre 5 5

Nombre de mots : 2282    |    Mis à jour : 18/03/2025

er, ce qui lui en dit long. « Allô ? » répondit-elle, f

'espace et de financement pour ton laboratoire. C'est bien ça ? » La v

t que de le faire baisser d'un cran. « Oui. Si la subvention est encore disponible. » Une pensée horrible lui traversa l'esprit. « Elle n'a pas déjà été attribuée à quelqu'un d'

r à 19 heures ce soir pour discuter de la subvention et passer en revue vos conclusions. » Sans un m

la frappèrent. Un

jean, s'étant indifférente à son apparence, préférant passer son temps à se préoccuper de son travail. De plus, sa blouse masquait presque tout, si bien qu'elle n'avait jamais vraiment pensé à son jean, et encore moins à son apparence. Ni à sa chemise, pensa-t-elle en jetant un coup d'œil à cette pitoyable pièce de sa garde-robe. Elle

r aussi débraillée. Cela n'avait rien à voir avec le désir de l'impressionner, mais plutôt avec sa fierté. Il l'avait quittée sept ans auparavant, et elle serait damnée s'il pensait

t le sèche-cheveux qui n'avait pas servi depuis... eh bien, elle ne se souvenait plus de la dernière fois où elle avait pris le temps de se sécher les cheveux et d'essayer d'être présentable. Son mo

tait trop maigre. En fait, tout son corps était maigre, pensa-t-elle en baissant les yeux sur ses jambes maigres. Sa poitrine était encore pleine, mais le reste de son corps é

er et unifier son teint. Une touche de mascara... et de rouge à lèvres, pensait-elle, pour illuminer son visage. Le rouge à lèvres la rendit instantanément plus dynamique et moins fatiguée. Regardant son reflet dans le miroir avec l'espoir renouvelé d'une aide financière, elle se demanda pourquoi elle s'était laissée aller au point de ne plus se soucier de son apparence. À part se brosser le

oulait pas lui donner autant de pouvoir sur son monde. Il n'était plus rien pour elle, à par

la retirer et en chercher une autre, mais finalement, toutes ses anciennes robes étaient trop grandes pour sa silhouette frêle. Elle prit la troisième qu'elle avait essayée. C'était une robe portefeuille noire, ce qui était probablemen

estés si longtemps au fond de son placard. Mais une serviette propre frotta la surface et ils étaient comme neufs. Lorsqu'elle les enf

exercée un peu dans son couloir, elle est revenue à son état i

ême si elle ne pouvait pas lui montrer les résultats. Pourtant. Elle savait qu'elle était très proche et qu'elle y arriverait probablement, mais elle avait dû faire preuve de laxisme dans sa diligence à protéger son travail à un moment donné. Ce manque d'attention à la protection de son

livres éparpillés et empilés un peu partout autour de ses meubles, certains servant même de tables pour des tasses de café ou autres boissons abandonnées. Quel désordre ! Elle sauta de l

vec tous ses papiers dans les bras, elle se précipita vers la porte e

n qui se croyait au-dessus du reste du monde. Un homme qui n'avait pas à suivre les règles

ine, ignorant les rapports qui retombaient par terre. « Tu n'étais pas obligé de venir me

ui. C'était aussi en désordre que la semaine dernière,

souvenait d'elle comme étant méticuleuse et organisée, alors il leva les yeux pour l'observer. En voyant sa robe, il eut l'impression qu'on lui avait donné un coup de poing dans le ventre. La robe env

s qu'avant. Elle s'était enflammée dès qu'il l'avait touchée, des années auparavant. Elle ét

te, méfiante. Et elle refusait de le regarder. Elle s'occupait des papiers sur sa table, les triait tant bie

enant qu'elle vive dans un immeuble aussi délabré. Son père avait de l'argent, moins qu'avant, à cause des pressions de Gaston pour qu'il lui rende ce satané livre. Mais son père n'était pas pauvre

le exprès ? Essayait-elle de le tourmenter ? Il détourna les yeux, mais ils revinrent aussitôt sur ces seins ronds et pulpeux. Les autres hommes de sa

ur lui avec une expression blessée. Il voulait voir ses yeux, mais pas comme ça. Il les voulait pleins de

emblait vouloir frapper quelque chose. « Euh... oui. » Elle rassembla rapidement ses affaires et attrapa son sac à main. « Je suis

tellement belle qu'il avait oublié à quel point ses yeux marron étaient expressifs. Elle n'avait jamais

ement la peau douce et sensible de sa nuque, il se disait qu'il ne pouvait rien y faire. Il s'assurait simplement qu'elle avait bien mis son manteau ava

es femmes faire cela d'innombrables fois, mais quand Elana le faisait, il y avait quelque chose de bien plus sensuel dans ce geste. Quelque chose qui lui donnait en

la porte de son appartement. « A

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