La Tentation du Milliardaire
ra
s. Ses bras m'encerclaient, m'attiraient à lui jusqu'à pre
notre contact peau contre peau. Mais comment allais-je bien
ait ma nuque, tan
vahit ; je ne voulais pas qu'il s'arrêtât. Ses caresses, aussi délicates qu'une plume, me faisaient fondr
rt, que je portais pour dormir. Lui était nu, et je
mes hormones, qui avaient une idée bien p
arriver. Comment m'é
ces caresses qui enflammaient ma peau. Je m'efforçais de me souvenir que j'ét
erait aussi dur ? Et pourquoi avai
Ma respiration était saccadée, tan
? Est-ce qu'il s'endormirait et je devrais me faire moi-même du bien
n pour son bien. Mais un flot de pensées crues, charnelles, se charg
mpêche d
loussement. Pas du tout ! Je m'endors toujours avec une bite qui rem
.. Eh
tes magnifiques courbes à mes côtés. Bordel, Mirabel
ue ie sui en sur pid e
'est jus
s sur ma poitrine voluptueuse, et mes lèvre
œ
les. Beaux, biens ronds, doux et pas refai
ma créativité brute, comme tu l'a
ffe les sens. Je n'ai qu'une envie : te baiser à oublier
avais déjà oublié co
t sa bite remua de nouveau. Ses caresses m'émoustillaient à en perdre le souffle : sa main chaude pelotait mes fesses si p
mettre une culotte... Maintenant
s, c'était à cache-cache dans le bois de Chatting. Ados, c'était plus du flirt et des taquineries comme c
ne suis pas co
m
issant vagabon
te humide et gonflée. J'en pe
haud, me taquina-t-il e
he était si sèche que ma lan
? demanda-t-il en pou
s peines à arti
ns et laissa écha
lai à ce
ha les contours de mes lèvres, souvenir brûlant de ce baiser d'au
et lisse m'écras
e ses lèvres charnues me dévoraient. Sans cesser d
ut se noyer d
rocherait jamais de cet homme (et surtout pas au point d'a
se envie de baiser, et elle était prête. J
ma queue
aise sur mes mamelons,
ue je peux
On ne m'avait j
ui ? bredo
ses et enfouit son
de sentir le bout de sa langu
son soûl, jusqu'à ce qu'enfin, je cède à un
oi, s'il
t plus qu'un m
dans les miens, faisant de moi son esclave
l'accueillir. Il plongea en moi d'un coup de reins sauva
mouilles ! s
, me comblaient tellement que j'avais l'im
tu es bonne ! Plus encore
t, allumant un incendie en moi
fondément en moi. Sa bouche quitta mes lèvres, s'attarda dans m
r longtemps, prévint-
ite m'asséner des coups de boutoir. J'écartais enc
t au bord de l'extase. Notre ballet à deux corps s'intensifia et nos gémissement
ur moi, gr
n plus vite sous mes doigts. Ethan grondait, grognait, lâchait des sons
m'inonda tout entière, me propulsant dans un univers d'étoiles filantes.
utre, nos souffles tels nos corps
'écarta légèrement de mon étr
e qu'il y
'était
s'esquissa sur
ûr que tu étais un bon coup, mais bor
on regard da
que tu veux
en toi. Et tu as ce parfum si add
e, comme si je l'av
a tête : impossible de compter jusqu'à dix
rement tout en me caressant les cheveux. Sub
une pénétration vaginale. Il avait ouvert une por
as dû se produi
ça les
s fossettes, sa mâchoire carrée et ses grands y
ussi sexy a fini da
ureux que ce
n'importe quoi de légèrement salace ? On en revenait toujours au sexe. Et même si pour moi
ir. Cet Ethan-là, tu n
que j'ai profité de toi, ajou
es caresses, aussi douces
ssurai-je av
hair demain, ajouta-t
moi juste
ide se formant entre
ci, c'était différent. Ses doigts glissèrent le long de mon
es un coureur de jup
e me caresser. J'en av
ntin
as à réfléchir
Moi j'a
cares
mes quatre vérités. Ça a son petit côté sexy. En to
is obligé
me serra fort
euil. Je ne devrais
ette conversation. Merci, lança-t-
ci de
e là po
a sur ma peau. Bien sûr, il avait le cœur en miettes. Ayant moi
ait un homme bien. Malgré nos différences, j'avais grandi dans l'ent