L'Alpha Déchu et le Clan des Ombres
pit
ante, les symboles de la meute brodés dans le tissu, brillant comme des étoiles dans la pénombre. Ses yeux, sombres comme la nuit, cherchaient Kaelen
avenir se verrait tracé par les gestes et les mots de Kaelen, tout cela semblait si éloigné. Était-ce réel
e posèrent sur elle, ce ne fut pas le regard d'un homme aimant, mais celui d'un roi, froid et calculateur. Il n'y avait rien de personne
ent dans leurs barbes, leur présence imposante témoignant de la puissance du moment. Les regards étaient rivés sur elle, attendant qu'elle
e bruit d'une porte fracassée. Amara, dans son souffle suspendu, tourna enfin la tête. La vision qui s'offrit à elle fit froid dans ses veines. Un groupe de
ant de se transformer en colère pure. « C'est impossible, » murmura-t-il, sa voix v
sur ses lèvres. « C'est vous qui avez tort, Prince, » dit-il en
qu'il saurait qu'elle n'était pas coupable. Mais il n'en fit rien. Ses yeux étaient durs, distants, presque inac
fila parmi eux, et soudain la silhouette de Kaelen se figea. Un instan
devint un tourbillon de chaos et de violence. Amara se retrou
par magie. Un silence lo
pour justifier la décision qu'il allait prendre. Elle se rendit compte, dans cet instant suspendu, que c'était fini. Elle n'était plus que
oix plus glacée que jamais,
esprit, tout ce qu'elle avait cru être, tout ce qui lui restait, s'effondra en un instant. L'insupportable vérité de cette jo
a-t-elle, la gorge nouée. « Je suis... J
nt, et peut-être, un peu de dégoût. « Tu es coupable, Amara, » dit-il.
ce pour l'espoir. Pas d'issue. Pas de pardon. Il se tourna, sans un mot
Et pourtant, le pire de tout, c'était ce rejet brutal. Cette décision publique. Une rupture. Pas s
déçus. Pas de compassion, pas d'empathie. Juste
nts ayant repris sa place parmi la foule. « Il est trop
haine, mais il n'y avait plus de place pour l
t jamais de la hanter. Elle leva la tête, faisant face à la porte, aux regards qui la jugeaient. Et dans ce sil
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