Le Milliardaire et l'erreur fatale
pit
le avait quitté son appartement pour le rejoindre. Elle avait voulu fuir, mais une autre partie d'elle, la plus tena
cieuse. La tension entre eux était déjà palpable, invisible mais pourtant si évidente. Elle avait tout d'un coup une envie irrépressible de part
les yeux. Un défi silencieux. Un défi auquel elle n'avait aucune envie de répondre. Mais ses lèvres, ces lèvres qui se soulevaient à pein
ant de lui de quelques centimètres, mais pas assez po
ses enco
oussa dans ses retranchements, et elle le sentait. Leurs corps se touchaient presque, mais aucun geste n'avait encore été fait. Il la testait, la poussa
pas le cou
irigea vers la fenêtre. Il n'avait pas tort. Elle n'avait pas le courage de le repousser. Pas maintenant, pas ici. Elle le sentait là, dans la
iment que j'ai
e poser sur elle comme une caresse brûlante. E
e lui. Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Elle inspira profondément, mais ses jambes vacillèrent. Elle n'avait pas le choix, elle n'avait plus le
ne parvint pas à articuler un mot. Tout ce qu'elle ressentait à ce moment précis, c'était la brûlure de son toucher. Elle ferma les yeux. La tentation était trop forte. Il s
chaque caresse. Elle savait que, au fond, elle se perdait dans ce désir qu'elle n'aurait jamais voulu assouvir. Mais elle ne voulait plus réfléchir, juste sentir, juste vivre cette folie. Ses mains
une rapidité inouïe, comme si chaque geste était une nécessité. Les vêtements volèrent au sol. Elle le regarda enfin, les yeux rempl
s cheveux, les enroulèrent autour de ses doigts. Il la regarda avec cette expression intransigeant
tile. Son corps répondait à ses désirs, à sa domination. Elle avait abandonné toute résistance. Ils se possédaient dans un enchaîneme
ant prise au piège. Il était là, à côté d'elle, dans ce lit où elle ne voulait pas être. Il la regardait, san
c'était qu'elle n'avait pas le courage de l'affronter, de lui faire fa
s ce lit qui ne lui appartenait plus, emportant avec elle cette sen