Captive d'un Amour Interdit 2
ne vérité empirique: nous voulons ce que nous ne pouvons pas . Pour
ès un certain temps, son corps semblait se calmer, mais il semblait encore y avoir un mouvement frénétique derrière ses paupières. Nightmares, a-t-il supposé. Sans crainte d
ps atterrirait
t-il à Livvie et
u avec Livvie avant qu'el
ferma les yeux et mettait son esprit à la réalité. Vous
ispute avec la logique. Il voulait trouver une raison dans ce qu'il ressentait pour pacifier l'homme endurci dans sa tête. Mais il ne pouvait pas. La vérité était - il la voulait. La vérité était aussi, ce n
oups et les viols et le meurtre - il aurait pu être quelque chose de différent de ce qu'il était. Il n'avait jamais pensé comme ça, ne s'est jamais interrogé sur les routes prises ou non prises. Sa vie était vécue
pas cet homme
mps. Il voulait qu'il disparaisse, le désir et les sentiments de regret. Il voulait vivre pour la chasse et tuer - c'était la seule chose à avoir du sens pour lui pendant si longtemps. Même d
changer fondamentalement en si peu de temps. Il n'était pas différent. Et pourtant, il se sentait différent et même la logique ne pouvait pas modifier cela. Si ce n'était pas pour les souvenirs, ces horribles so
très longtemps. Il ne l'a pas regretté non plus. Il avait savouré le regard sur les visages de ces motards
! C'était
ient de réalisation et cela se poursuivrait jusqu'à ce que Vladek prenne son dernier souffle à bout de souffle. Caleb frissonna. Il v
Pour toujours. Elle
pièce. Incapable de résister à l'engourdissement
*
refusé de
fait des jours et vous êtes toujours couvert de sang. Quelqu'un vous v
. J'ai goûté du sang et j'aime ça! Je ne le laverai pas. J
t devenu dessiné, les yeux p
. Rafiq était également beaucoup plus fort que Narweh, capable de plus de dégâts, mais le garçon ne se permettrait pas d'avoir peur, de se recroqueviller avant qu'un hom
on
ur qu'il ressentait. À l'approche de Rafiq, le garçon a réprimandé son désir de se rétrécir. La main insensible de Rafiq a atterri fermement à l'arri
s maintenant, ou je vous dépouillerai et je vais parcourir vot
était pas en colère contre lui. Il n'avait personne d'autre. Il était encore jeune, incapable de vraiment se débrouiller pour lui-même. Sa cours
rrière de son cou desserra un peu et le garçon se ferma les
urq
de souffrir! Je voulais qu'il souffre, Rafiq. Toute la douleur qu'il m'a mis, toutes ces choses... Je
e s'était jamais produit
tait un so
continuer à me défier; Vous ne pouvez pas continuer à agir comme un garçon pétulant! Vous n'êtes p
rise à l'arrière de son cou. "No
" Son emprise sur le cou du garçon s'intensifiait et alors qu'il grimaça de douleur et tentait de
ne gifle du visage, mais il était néanmoins stupéfait. Il a essayé de défe
ec suffisamment de force p
, des larmes tomb