Les Échos du Cœur

craser en contrebas dans un tumulte assourdissant. Ses doigts, tâchés d'encre, tenaient avec fermeté son vieux carnet en cuir. Elle effleurait la couvert

e la mer emplissait ses narines tandis qu'elle tournait une page, relisant les derniers vers q

murmurent des

amour et d'â

et repartent

dèles des cœu

ut pour elle. Chaque mot inscrit était un fragment de son âm

e dans tes pens

ux argentés l'observait avec un sourire attendri. Sa grand-mère, Mathilde, une femme au reg

endue arriver, répondit Liana en

années, plaisanta la vieille femme en s'asse

avant d'ouvrir son car

. sur ce qu'elle renfer

a tête avec un s

me de cet endroit à travers tes mots. Mais dis

jouant nerveusement a

parler de

ncore, Liana ? Ton talent ne devrai

, voir ses poèmes exposés aux yeux de tous... Cela a

as ? Et si mes mots n

ain douce sur celle

rt de soi au monde. Ceux qui doive

la tête, peu

ité, ici. Écrire pour moi, pour nous. Je n

nça un regard e

le destin en déc

vagues en contrebas. Liana ferma un instant l

e qui expose parfois les écrits des jeunes auteurs. Pourqu

rqua un

cle devant tous les habi

éclata

e est un acte de courage. Il ne s'agit pas de plaire à

uverture de son carnet. Elle savait que sa grand-mère avait

laissant place à un ciel parsemé de teintes orangées et vio

faire frais. Ren

son sac avant de suivre sa grand-mère su

ait une vieille bâtisse en pierre, remplie de souvenirs et de livres aux pages jaunies. L'ode

en soupirant tandis que Mathilde s'affai

aux, déclara-t-elle en versant l'eau chaude dans deux tasses. Tu po

oula de

jamais l'affair

Mathilde avec un

ement. Elle aimait cette obstinati

itement du feu dans la cheminée. Liana prit une gorgée de son t

eur attention. Un grattement à

ntrigué avec sa petite-fille

homme en uniforme de facte

tardive, mais cette lettre est arrivée aujo

remerciant le facteur a

doigts, observant l'écriture soi

toi, ma

taine appréhension. Qui pouvait bie

squ'elle déchira le papier et en

dement les premières ligne

ttre d'une mai

ent lu l'un de ses poèmes, apparemment envoyé par un « admirateur anonyme »

rand-mère, qui l'observait avec une exp

a pris sa décision à ta

entait déjà l'angoi