Soumise a l'innocent Milliardaire
ma cuisse, caressante, chaude, brûlante même, la pa
la voix dite derr
t le bruit animal d'une femme en chaleur, une femelle prête à être touchée et baisée. Parce que du coup, je m'en fichais.
n'est-ce pas ?" Un rire
tée, h
avais instinctivement soulevé mes fesses, cherchant son contact, et mes fesses avaient frôlé un putain de serpent dur. Je suis vierge, mais je sais que la bite est excitée quand elle me t
ale, basse pour que personne d'autre ne puisse en
nt de sa veste étant évident. Il l'a tiré vers l'avant pour qu'il nous pr
, ne t'inquiète
ère incontrôlable. Mais ensuite ils se sont arrêtés et j'ai gémi, l'anticipation presque douloureuse, faisant tourner désespérément mes hanches. Mais je savais
nt dans mon oreille. « Quelle petite pute ne porte pa
e plus, la chaleur à l'intérieur augmentant d'un million de degrés parce que oui, ce soir, je voulais être le foutre d'un homme. Je voulais jeter mes inhibit
tte dégoulinante sauvagement. "Je su
ette bite épaisse et chaude
igt ce soir. Mais plus tard, je le promets," me murmur
d homme recommença
-il, bas pour mes oreilles s
cul avant de saisir la chair et de la serrer fort, me faisant sursauter. Oh mon Dieu, c'était si bon pendant qu'il
ix grave, amusée et douce. « Je n'ai même pas encore
s, pointant vers le bas, et a commencé une lente glissade verticale. C'est vrai, il a poussé deux doigts dans mon dos et s'est glissé directement dans mes fesses, me faisant ouvrir les yeux. E
st enfouie entre mes fesses, les monticules de chair le serrant fort. Et s'arrêtant un instant, le gr
entaires", me dit-il d'une voix grinçante à
rant est un peu petit, ou si vous devez demander une rallonge de ceinture de sécurité dans l'avion. Mais maintenant, ses paroles me faisaient me sentir si désirée, si désirable et totalement féminine. Parce que je
ne s'est pa
Mais papa n'a pas le temps de jouer avec ton trou a
ux se fermant, tout le corps s'affaiblissant. Parce que ces doigts caressaient mes lèvres, touchant les plis doux et gonflés, échantillonnant la nappe qui suintait de mon
moitié tordu par
de ma chatte nue, en montrant mes atouts féminins à la foule ? C'était tellement
avec un bras autour du bas de mon dos sans
est pour ça que je vis, j'aime le mie
t, mon visage était si brûlant. Oh mon Dieu, oh mon Dieu, j'étais une telle salope, une telle pute qui crémait comme ça pour un homme que je ne connaissais même pas. Je restais immobile, tremblant de désir et
De haut en bas, de haut en bas, ses doigts caressaient mes lèvres gonflées de manière rythmée, me faisant me tortiller, chaque effleurement de mon clitoris si alléchant, des frissons parcourant ma c