Une Vie de Pouvoir et de Séduction
pit
st ainsi qu'il avait construit son empire. Lily Bryant n'était pas différente des autres femmes qui croisaient son chemin, pensa-t-il. Mais il se trompait. Lily n'était pas du genre à se laisse
ations à des dîners privés, des suggestions de réunions pour discuter de potentiels partenariats. Rien de direct, juste des prémices, des gestes qui la mettaient doucement sous pression. Une semaine, puis deux, et l'invitation devint de plus en plus d
ard en coin. « Je pensais qu'on pourrait parler d'une collaboration, » dit-il simplement, comme si leur dernière rencontre n'avait pa
t son travail sans même lui accorder un
rd était lourd, insistant. « Vous n'êtes pas ici pour travailler, Lily. Vous êtes ici parce que vous voulez ce que j'ai à offrir. » Il marqua une pause, l'examinant. « Je sais lire
mpez, Julian. » Sa voix était glaciale, mais quelque chose dans ses traits trahissait u
d'une confiance inébranlable. « Peut-être que je me trompe, mais j'ai toujours eu r
rt. Julian savait exactement ce qu'il faisait. Lily était intelligente, mais elle était aussi
s. Des femmes magnifiques, toutes prêtes à se jeter dans ses bras pour une nuit, pour un mois, ou plus. Lily en entendit parler dès le matin suivant. Des photograp
ses mots avaient glissé avec cette insistance particulière. Il voulait la séduire, la conquérir, l'ajouter à sa collection de femmes, celles qu'il faisait briller s
ésence. Ses gestes, sa voix, chaque mouvement en disait long. Mais ce n'était pas ça qui la poussait à le repousser. C'était cette facilité avec laquelle il semblait coll
'il voulait. Il aimait les défis, surtout quand la cible refusait de se soumettre à lui. Alors il se rapprocha encore. Pas de manière évidente, non. Il
qu'elle le confronte de manière plus directe. Elle était loin d'être naïve. Mais Julian avait cette manière de rendre tout plus tentant. Comme un
lqu'un d'assez simple, en réalité. Tout ce que je veux, c'est ce que je veux. » Il sou
hir. « Et vous pensez vraiment qu
de réfléchir. Vous pouvez essayer de vous convaincre du contraire, mais au fond, vous savez
ion, ce poids qui l'étouffait. « Vous vous trompez. Vou
mpris. Mais il était patient. Il attendrait. Parce qu'il savait qu'à un m