Farence : La légende

er leurs vies. Ils avaient apparemment été trouvés au même endroit, avec un ou deux jours d’écart probablement. Kamais ayant été recueilli par un homme sans identité et sans do

rphelinat, Kamais savait seulement qu’il était encore incapable de tenir debout

t à lui était un véritable voyou, comme l’avait si justement supposé la jeune fille. Toutefois, il aspirait à un avenir plus sage et son enrôlement au sein du gang des Rollers en était la première étape.

ors tu peux t’installer ic

e refusent chez les Rollers, ça risque de durer plus longtem

uire en miettes assez facilement. N’oublie pas que je suis le

u veux, et après peut-être que tu pourras me sort

pesant au plus dans les quatre-vingt kilos osait se prétendre plus fort que lui ! Il semblait plutôt frêle, surtout face à Yatsun qui accusait

d’enfants multicolores. Le brassage ethnique avait au moins ça de bon que de colorer la vie au sens propre comme au figuré. Tournant la tête sur la droite, il sut enfin ce qui lui avait provoqué cette sensation. Une jeune femme au teint pâle et aux oreilles pointues l’observait. Elle semblait tout aussi surprise que lui de le trouver là et elle ne bougeait pas. Elle le fixait à travers une paire de lunettes de soleil, ses longs cheveux bleus soulevés par le passage d’une machine de nettoyage toute proche. Elle portait une combinaison souple et près du corps qui semblait laisser passer la lumière et la rendait difficilement visible. À sa ceinture pendait une longue épée de verre sur laquelle était posée sa main droit

un humain calpit. Il en avait du moins toutes les caractéristiques extérieures, mais le trouver chez Yatsun Kooman était à ses yeux invraisemblable. Les deux enfants se connaissaient ! Cela lui rendrait la

atsun est sûrement un des deux réceptacles, c’est un Calpit, il a le bon âge et la cicatrice

devant le miroir du fond de la cage et retira ses lunettes. Depuis qu’elle était arrivée, ses yeux à pupilles de chat la brûlaient en permanence. Syriel était une Elfide,

onnés des peuplades. Ainsi Syriel, où qu’elle aille, ne passait pas inaperçue. C’était la raison

perturbée. Même si elle ne voulait pas crier victoire trop tôt, elle restait persuadée que ce jeun