Romance avec mon demi frère
es articulations cra
errons combien de temp
es pensées sur Emma. Peut-être que si elle sortait d'ici assez vite, je serais
m
un moment, mais maman lui toucha le bras et il lui sourit. J'ai retenu l'envie de me demander où allait Ford. Soit il
e détendre un peu ne pouva
le. Une heure de bavardage plus tard, Russ bâilla et posa sa tasse avec un bruit sourd
s poussait sa chaise. "As-tu beso
our ce soir et m'occuper du reste demain matin. Je me
ma
avait pas récupérés. J'avais reçu le message clair comme le jour : je n'étais pas le bienvenu dans ce qu'elle considérait comme son domaine. Maman était trop absorbée par l'excitation de la planification du m
et mon long peignoir moelleux. Même si j'étais mort debout, je savais que je ne pourrais pas m
rte fermée. Je ne pouvais rien faire d'autre que d'attendre. Soit ça, soit se perdre pour
clair qu'elle venait de se faire bien baiser. Elle a couiné quand elle m'a vu et s'est précipitée dans le couloir jusqu'à la chambre de Ford comme un
salle de bain. Je me suis retourné pour r
scendait sur ses abdos et j'ai réalisé qu'il me regardait. Pas un regard furieux, juste... effronté. C'était son territoire, et il me
ou quoi?" » a-t-il
re, mon pote. Ce n'est pas comme si j
e. Ma peau picotait là où il me touchait à travers la robe. Avec un dernier regard sur mes mollets nus, il suivit finalement la fille jusqu'à sa chambre. J'ai regardé son cul se
ait pas que j'envahisse son espace. Chaque fois que je me retournais, il était là – me reluquant, me regardant d'un air renfrogné, me bloquant le passage, se pavanant à moitié habillé. Tout ce qu'il faisait à la fois m
e repeint mes ongles de pieds. L'ennui rendait plus difficile d'ignorer ma libido. Et être paresseux pendant la journée signifiait être
rmir. J'avais besoin d'air frais. J'avais besoin de m'éloigner suffisamment de la chambre de Ford pour arrêter de me demand
e, de l'herbe, des animaux, de la fumée de bois et l'étrange épice que j'avais apprise était l'odeur d'un air véritablement pur. Les
s'éclair
rnés vers l'écurie. Comme toutes les petites filles du monde, j'avais autrefois été obsédée par les « poneys magiques ». Maintenant que j'avais vu de vrais troupeau
qu'il tournait vers l'écurie, devenant un chemin de terre, j'ai entendu un bruit étrange. On aurait dit que ça venait de la sellerie. Confus, je me s
porte de la sellerie. J'ai jeté un coup d'œ
evés au-dessus de sa tête, liés aux poignets par une corde blanche ; l'autre extrémité de la corde d
au-dessus d'elle
corps étonnant dans des plans et des angles d'ombre nets, définissant chaque muscle. Et je pouvais voir une chose e
ntraînement, et les tendons de son avant-bras se contractèrent sous la force qu'il mettait dans le coup. La femme poussa un sanglot aigu et déses
"Tu peux le faire. Vous avez demandé cela. À moins que tu ne te soucies plus de ta récompense ? La femme secoua vivement la tête, poussant un brui
s'en éloigner, et gémissait comme un chat en chaleur à chaque mot sortant de ses lèvres charnues. Quoi qu'il se passe ici, elle aimait ça. J'ai adoré. Elle
ontre l'autre, essayant de soulager la douleur brûlante du désir.
e pour tester , me suis-je dit. Je savais déjà que j'étais presque aussi trempé qu
s pas à cause de l'effort. Ses yeux me brûlaient sans même me regarder. L'expression sur son visage était à la fois lointaine et im
e chaque côté de sa jambe gauche. "Bonne fille," ronronna-t-il. Maintenant, sa voix était hypnotique,
ponse, il enfonça d
d'appréciation et commença à lui tendre sauvagement la main. « Un si bon animal de compagnie
i connard ou un putain d'extraterrestre. J'avais juste besoin de descendre. Maintenant. Alors que
ux trouvèrent les miens et s'écarqu
ti comme le voyeur que j'étais. Je reculai brusquement