La Compagne Maudite du Roi Lycan
x des autres membres résonnait dans ses oreilles comme une mer en furie, comme un écho interminable de leur mépris. Elle n'avait jamais voulu ce moment. Ell
ison de verre dans laquelle elle se sentait piégée, vulnérable, exposée. Le silence pesant qui suivit la d
rères de meute, il était l'incarnation de l'autorité, de la puissance. Son regard glacial, ses yeux d'acier qui se posaient sur elle avec une froideur distante, la faisaient fr
a, la salle e
lacable, comme une sentence de mort. Le poids de ses mots s'abattit sur elle avec une brutalité qu'elle n'aurait jam
glacé, comme une morsure, se propagea sur sa peau. Il se tourna vers les autres membres de la meute, et ses paroles s'enchaînèrent, enco
n, se réjouissant de sa souffrance. Chacun d'eux savait que le chef, l'homme qu'il était, ne se laissait pas abattre. La faiblesse n'avait pas de place parmi eux. Et ici, dans cett
t rejetée publiquement, la laissant exposée aux yeux de tous, comme un animal fragile qui ne méritait même pas d'être vu. Elle serra les poings, les ongles enfoncés dans la ch
re à un rôle parmi nous. Mais elle ne comprend pas que c'est moi qui dirige ici, p
lle, qu'il viendrait à sa défense, qu'il verrait en elle quelque chose de plus que ce qu'il était en train de
e à être réduite à cette condition, à ce point de non-retour. La lumière de la salle la frappait, la brûlait, et elle avait envie de disparaître, de fuir. Ma
voix était basse, presque un murmure, mais c'était comme s'il avait hurlé dans son âme. Le monde autour d'elle devint un tourbillon, un bruit incessant, un chœur moqueur qui lui martelait le c
e. Elle s'effondra à genoux, incapable de tenir plus longtemps. Elle n'était plus qu'une ombre, une douleur vivante, une créature sans nom. L'injustice, l'humiliation, la colère et la tristesse se Mél
ient en silence. Leur regard, celui des témoins indifférents, achevait de la briser. Le seul qu'elle aurait voulu voir compatir, c'était lui. Lui, son compagnon, celui qu'elle avait cru capable de tout, celui qu'elle
it encore sa voix, tranchante, nette comme une lame. Elle entendait encore l'humiliation, les rires, le
ait-elle unie à un homme qu'elle ne méritait pas ? Pourquoi la souffrance, pourquoi l'isolement, pourquoi l'abandon ? Elle n'avait pas les réponses. Et elle n'en aurait probablement jamais. Mais p