La compagne du roi alpha

uatre : Les Port

percer les nuages. Élodie leva les yeux, impressionnée malgré elle. Elle n'avait jamais rien vu d'aussi grandiose. Les murs de pierre grise semblaient

u'un accessoire, un trophée qu'il exhibait pour montrer sa puissance. Elle baissa les yeux, essayant de se faire aussi petite que possible, mais elle

hota une voix. On dirait qu'elle n

a tête baissée. Elle ne pouvait pas se per

tant des reflets dorés sur les murs ornés de fresques représentant des batailles légendaires et des loups-garous héroïques. La musique, douce et

se tournant enfin vers Élodie. « Rest

nt de se fondre dans l'ombre, mais elle sentait les regards des autres invités peser

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ervait la salle de bal du ha

ement l'attention. Les invités se tournèrent vers lui, murmurant des paroles de respect et d'admirati

omme toujours. « Tout se passe comme p

me si quelque chose d'important était sur le point de se produire. Ses yeux continuèrent à parcour

od

Il y avait quelque chose dans sa posture, dans son aura, qui attirait son

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un frisson parco

u des histoires sur le Roi Alpha, sur sa puissance, sa cruauté, sa froideur. Mais en le voyant de près, e

, incapable de soutenir son regard. « V-votre

s'il essayait de percer son âme. Puis il tendit la main

puis son visage, cherchant une explication, une raison. Mais

Sa peau était chaude, presque brûlante, et el

-

Cinq : La Dan

ut rompre, un mélange de peur et d'émerveillement l'envahissant. La salle de bal semblait s'effacer autour d'eux, les murmures des i

racieux et synchronisés. Élodie se sentait maladroite, comme si ses pieds refusaient de lui obéi

sa voix grave et apaisante. S

posée sur sa taille. Lentement, elle se laissa guider, ses pas hésitants se synchronisant peu à peu avec les siens.

ière dont il la regardait, comme si elle était la seule personne dans la pièce. Il y avait une intensité dans ses yeux, une profond

-il enfin, brisant le silen

ui manquèrent. Que pouvait-elle dire ? Qu'elle était une Oméga maltraitée, une ombre dans s

Ne vous sous-estimez pas, murmura-t

. Elle se laissa aller un peu plus, se rapprochant de lui, sentant la chaleur de son corps c

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vait la scène depuis l'ombre, le

e insulte, une provocation. Il serra les poings, sentant la colère monter en lui. Il avait

e tenait à ses côtés, un sourire narquois aux lèvres. « Tu vois ça ? murm

alicieux. « Peut-être qu'il a raison. A

t provoquer, semer la discorde. Mais cette fois, il avait raison.

faire ça. Élodie était à lui, et il ne p

-

chaque pas rapprochant Élo

iait. Elle ne pouvait pas l'expliquer, mais elle savait que c'était réel. Théo semblait

lait pas que ce moment se termine. Théo la regarda un instant, puis in

sourit, un sourire rare et sincère, puis tourna les talo

ie avec lui. Elle se recula dans un coin, essayant de comprendre ce qui venait de se

on visage dur et impassible. « Vi

silence, jetant un dernier regard à Théo, qui parlait maintenant avec d'autres A

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