L'ombre de l'alpha bestial

Le Gardien du

connaître la réponse à toutes leurs questions avant même qu'elles ne soient formulées. Le silence entre eux était lourd, mais il n'ét

ait pas le moment. Cette rencontre, ce lieu, tout semblait faire partie d'un plan plus vaste, quelque chose d'inévitable

imperceptible, comme s'il attendait cette réa

vez bien fait de le chercher, mais maintenant vous êtes dans un piège. Vous ne pouvez plus fuir, vous

ue parole, chaque syllabe, était une clé ouvrant une porte vers un abîme qu'il n'avait pas prévu d'explorer. Mais

voix plus ferme qu'il ne l'eût cru po

en des anciens secrets. Ceux que les générations passées ont cherché à effacer, à oublier. Et vous, Alexandre, vous êtes celui q

se faisant plus acerbe. "Et quel

nt pas seulement matérielles. Ce que vous avez éveillé est plus qu'un simple secret. C'est un pouvoir ancien, lié à des forces surnaturell

on âme. Il avait peur, mais c'était une peur différente de celle qu'il avait ressentie jusque-là. C'était la peur de l'inconn

re ?" demanda-t-il enfin, presque sup

pter ce qui vous a été transmis, Alexandre. Vous devez comprendre que vous n'êtes pas maître de ce pouv

: "Mais sachez ceci : une fois que vous aurez fait ce choix, il n'y a pas de retour en arrière. Et ce que vo

dans son esprit. Qu'est-ce qu'il avait libéré ? Que représentait cet héritage ? Et pourquoi lui, pourquoi maintenan

épéta William, cette fois plus calmemen

us devez retrouver ce que vous avez perdu. Ce que vous avez cherché, vous le trouverez, mais à un coût. Vous aurez

dre, l'homme tourna les talons et disparut dans la nuit, comme un spectre. La bru

ni quoi faire. Le vent soufflait fort, emporta

oulait dire ?" murmura William,

s une chose était sûre : leur aventure ne faisait que commencer, et

: Le Poids

ille, semblait à la fois plus belle et plus menaçante. Les rues désertes, les vieux bâtiments en pierre, tout prenait une nouvelle

ait-il fermer les yeux après ce qu'ils avaient appris la nuit dernière ? Le Gardien avait parlé de l'héritage,

derrière la tête, l'air absent. L'atmosphère entre eux était plus tendue que jamais. Person

finalement le silence. Sa voix, habituellement calme, était mai

e choix, n'est-ce pas ?" Il haussait les épaules, un sourire ironique aux lèvres. "On

'est pas aussi simple. Le Gardien... Il a dit que ce pouvoir ne nous apparten

t, marchant jusqu'à la fenêtre, scrutant l'horizo

out ça derrière nous", suggéra-t-il. "On p

it en tourmente. "Tu penses que ça sera

t. "Mais je pense que c'est la seu

n'avait pas cherché ce pouvoir, mais il était désormais lié à lui. Et cela, il en était

ait Delia, leur amie d'enfance, qui entra, l'air affolé. Ses cheveux épars et ses yeux éca

e, à peine essoufflée. "Il y a eu des... disparitions.

t. "Des disparitio

"Je crois que tout est lié à vous, à ce que vous avez fait. Les gens p

grimace de dégoût sur le visage.

l faut qu'on arrête. Si ce que vous avez fait a provoqué tout ça,

"On ne peut pas effacer ce qu'on a fait", dit-il d'une voix ferme. "Mais il y a quelque chose qu'on peut

il. "Et comment tu pr

ndit Alexandre, ses yeux se durcissant. "Nous devons comprend

penser à aller plus loin. Vous n'avez aucune i

on regard déterminé. "Mais je ne p

nses. Mais à mesure qu'ils s'avançaient, la peur grandissait, pesant sur leurs épaules. Chaque ombre semblait plus menaçante

ures dont parlait Delia n'étaient p