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Le Magnat Célibataire

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1271    |    Mis à jour : 11/02/2025

dans son esprit comme une sentence, un point de non-retour, un dernier moment avant qu'elle ne franchisse définitivement le seuil de ce monde qui

clatantes de couleurs vives, mais d'une façon qui ne semblait jamais détonner avec le luxe ambiant. Le sol en marbre polie faisait écho à ses pas, et chaque meuble semblait

é dans une lumière tamisée, une lueur chaude qui contrastait avec le froid extérieur de la ville. Maximi

és sur les lumières de la ville, comme s'il attendait qu'elle vien

-il sans se retourner, sa

t se sentir offensée ou simplement reconnaissante qu'il n'ait pas

ée, j'ai eu que

er sourire se dessina sur ses lèvres, mais il ne dit rien. Il se contenta de l'observer, de la jauger, comme s'il c

il enfin en s'éloignant de la fenêtre, l'invitation p

milien s'installa en face d'elle, son regard calculateur et intense. Il n'avait pas l'air pressé, pas même un peu. Au contraire,

la table, puis croisa les b

pacte. Vous savez à quoi vous vous engagez. Pas de retour

r ce qui allait suivre. Elle avait voulu cette rencontre, elle l'avait voulue plus que tout, mais à présent que l

nchante. Ce que je vous propose, c'est plus qu'un simple arrangement d'affaires. C'est un contrôle, un lie

Maximilien serait aussi direct, aussi froid dans son approche. Il parlait avec la même assurance qu'il mettai

ait qu'elle ne pouvait pas revenir en arrière. Elle était déjà là, dans

le d'une voix plus basse, défiant malgré elle la pr

elle. Il s'arrêta juste devant elle, assez proche pour qu'elle sente son souffle, mais sans l

e à la discussion. Vous me prenez ou vous partez. Mais partez sans un centime, sans aucun avenir

es invisibles qui l'emprisonnaient un peu plus. Mais étrangement, elle ne ressentait pas de peur. No

e s'il sondait chaque recoin de son âme, chaque peur cachée

a à son tour, d'un mouvement vif, se retrouvan

ce que vous me proposez, mais à mes conditions. Vous pouvez

tage, et ses mains se posèrent sur ses hanches, les effleurant presque. Il était si proche qu'elle pouva

venez-vous, Sofia, dans ce monde, la liberté a un prix. Et ce p

a vers elle, ses lèvres effleurant son oreille

n'êtes plus libre

urgence brute, sauvage, comme si ce baiser était une prise, une revendication. Elle le laissa faire, d'abord hésitante, puis, peu à

d'elle. Elle n'avait pas prévu ça. Elle n'avait pas prévu cette passion dévorante qui semblait naître d'un simple contact. Pourtant

e, une nuit où les limites se brouillaient, où l'intensité de l'instant effaçait tout ce qu'elle avait cru savoir sur elle-même. Elle se perd

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